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Avoir un enfant, Le chérir chaque jour, L’aimer pour toujours, Même devenu grand, Un enfant c’est merveilleux, C’est un enfant fait d’amour, Un enfant fait à deux.
Une fleur est née, c'est presque une rose, Sa peau est nacrée, satinée, veloutée, Une petite fille sourit à la vie, Un baiser, un câlin, une marque de tendresse, Suffisent à son bonheur d'enfant, Jamais une ombre n'obscurcit son visage, Heureuse, elle sourit à la vie.
Oui, c’est vrai, chaque avortement fait au moins une victime, et cela n’est pas acceptable. Et s’il arrive quelque fois que la mère meurt aussi, cela fait deux victimes, et c’est deux fois trop.
Qu’il devienne légal de tuer un enfant parcequ’il n’a pas encore commencé la deuxième phase de sa vie, celle d’après la coupure du cordon ombilical dépasse toute forme de raison, de logique ou d’entendement.
Dans ce cas, pourquoi ne pas autoriser le meurtre de l’enfant avant qu’il ne soit sevré avant qu’il perde ses dents de lait avant qu’il n’atteigne l’âge de raison avant qu’il ne vive la puberté avant qu’il ne commence sa vie professionnelle avant qu’il n’ait sorti ses dents de sagesse….
On pourrait aussi rogner sur la somme toute courte existence de l’homme en commençant par la fin: après qu’il soit devenu grabataire ou en fauteuil roulant après qu’il ait perdu ses dents après qu’il ait eu des cheveux blancs après l’âge légal de sa retraite après sa ménopause ou son anause,…
Il ne resterait alors à l’homme que quelques semaines de son existence pendant lesquelles il pourrait vivre sans crainte d’être assassiné en toute impunité.
Aucune démonstration biologique, médicale, éthique ou morale ne peut justifier une différence de traitement d’un enfant avant et après sa naissance: la médecine va même jusqu’à pratiquer des opérations sur l’enfant alors qu’il n’est pas encore né, pour le garder en bonne santé ! Pourquoi alors rendre légal une telle opération intra-utérine quand elle a pour but de le tuer ?
Tout système juridique comporte nécessairement des imperfections et le droit ne peut pas être érigé en référence pour quiconque a soif de justice: il n’est qu’un pis aller. Quand le droit définit le début de la vie d’un être humain, c’est peut-être pour répondre aux besoins administratifs de l’état civil ou pour tenter de gérer les relations entre être humains vivant en société, mais certainement pas pour guider l’humanité sur la route de sa vie. Le parlementaire n’est pas un guru.
La Déclaration des Nations Unies sur les Droits de l’Enfant, de 1959: “Considérant que l''enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d'une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d'une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance”. Maurice l’a ratifiée le 26 juillet 1990.
Qu’en disent les religions ?
Le Christianisme
Le Pape Jean-Paul II enseigne « Celui qui est supprimé est un être humain qui commence à vivre, c'est-à-dire l'être qui est, dans l'absolu, le plus innocent qu'on puisse imaginer: jamais il ne pourrait être considéré comme un agresseur, encore moins un agresseur injuste! Il est faible, sans défense, au point d'être privé même du plus infime moyen de défense, celui de la force implorante des gémissements et des pleurs du nouveau-né. »
Pour les autres confessions chrétiennes:
Le lien ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Doctrine_du_christianisme_sur_l%27avortement
Pour quelques autres religions:
Le lien ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Interruption_volontaire_de_grossesse
Le Bouddhisme
“Traditionnellement pour les Bouddhistes, le processus de la vie des êtres sensibles commence à l'instant de la conception, quand la conscience d'un être "entre" dans l'ovule et le spermatozoïde réunis provenant des parents. Puisque la vie commence au moment de la fécondation, on pense qu'il n'y a aucune différence qualitative entre un avortement de premier trimestre et un avortement tardif. Bien que le foetus ne soit pas considéré comme ayant une "personnalité entièrement développée," dans le sens occidental du mot, il est considéré comme étant une "personne," possédant les cinq agrégats permettant de déterminer l'identité personnelle : la forme, les sentiments, les perceptions, les formations karmiques, et la conscience.
Selon le premier des cinq préceptes bouddhistes (s'abstenir de tuer, des insectes comme des humains), l'avortement est proscrit. On considère que la vie commence dès que la conscience surgit, et les foetus sont vus comme ayant une conscience. L'avortement, parce qu'il tue un foetus, pose un dilemme personnel sérieux sur le plan moral et spirituel. Dans les textes bouddhistes indiens, "tuer" se comprend comme tuer un être "sensible", un être muni de conscience et par conséquent du potentiel d'atteindre l'illumination..
Les règles du Bouddha pour sa communauté de moines interdisent également de recommander l'avortement.”
Cf.
Le lien ici : http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article677
Savez-vous que le bébé qui dort placidement dans votre ventre et que finalement vous avez décidé de tuer… a des bras, des petits doigts et il suce son pouce ? C’est un bébé parfaitement développé, débordant d’amour, de pouvoir, d’espoir et de Vie… el il sent la douleur.
Savez-vous que l’enfant que vous portez dans votre ventre se sent absolument sur et protégé dans l’utérus. Votre ventre est la perfection de la Création destiné à abriter cette vie en pleine croissance… cette Pure Conscience qu’est le bébé ?
Savez-vous que si vous décidez de tuer votre bébé, à part de l’assassiner, vous mettez en danger votre vie et vous vous exposez à de graves risques physiques et psychiques desquels jamais plus vous ne pourrez vous récupérer… ?
-Apparition du cœur : 3ème semaine.
-La première "respiration" : 1ère semaine. (échange d'O2 entre la mère et son petit, sans mélange des sangs)
-Apparition de la moelle épinière ainsi que du cerveau : 3ème semaine.
-Premiers mouvements sanguins : 2ème semaine.
-Premiers Neurones : 3ème semaine. Plus de 200 000 neurones toutes les heures pendant plusieurs heures.
-Apparition des bras, et des yeux : 6ème semaine.
-Premier ressentiment de la douleur : 7ème semaine.
-Apparition du foie, du nez, des oreilles, d'une ébauche des doigts, des lèvres : 8 semaines (2 mois)
(L'embryon possède même un niveau de conscience primaire)
Sauf que c'est n'importe quoi cet "historique" du développement dans le ventre.
1ère semaine : fécondation et implantation de l’œuf dans l'utérus
2ème semaine : les cellules commencent à se différencier
3ème semaine : les poumons, le système nerveux et le cerveau se dessinent (l'oeuf ressemble encore à un disque car aucun organe n'est formé
4ème semaine : premiers mouvements sanguins
5ème semaine : les deux hémisphères cérébraux se dessinent
7ème semaine : début de l'ossification du squelette et les 1ers muscles commencent à se construire
8ème semaine : les organes vitaux sont quasiment finis (mais ne fonctionnent pas sauf le coeur), les organes génitaux commencent à se développer
Après la 12ème semaine (donc après le dernier délai) :
- la circulation sanguine est autonome, le foie et les reins commencent à fonctionner (12ème semaine)
- les sens commencent à se développer = odorat, goût, sa peau commence à devenir sensible (13ème semaine)
- produit de neurones dans le cerveau, premiers mouvements (14ème semaine)
- le foetus ressent la douleur (16ème semaine)
- etc...
Le lien ici : http://www.forumdesados.net/l-avortement-t277-795.html
No comment !
Avortement.
Avortement - l'avortement spontané ou provoqué. avortement spontané ou une fausse couche, peut être chez les femmes infectées par une infection avec des maladies du système circulatoire, les blessures, les maladies inflammatoires du système reproducteur, avec leurs sous-développés, en cas d'intoxication, de gros efforts physiques et un grand nombre d'autres raisons.
Quand l'avortement apparaît comme une douleur forte bas de l'abdomen, semblable à la lutte. Toutefois, en début de grossesse ne peut pas être enlevé. Des organes génitaux apparaissent sang ou les fluides corporels juste. Lors de la première apparition de ces symptômes doit immédiatement se mettre au lit et appeler un médecin. Surtout, ne désespérez pas. Grâce à une intervention rapide et un traitement approprié de fausse-couche peut être évitée.
L'avortement provoqué - est non seulement inhumain, mais aussi une méthode dangereuse. Il ya une assassiner d'un enfant et causer des dommages irréparables à la mère. Particulièrement inquiétant est l'interruption de la première grossesse, ce qui peut mener à l'infertilité ultérieure. Les complications les plus fréquentes de l'avortement sont une hémorragie sévère, des dommages à l'utérus, les erreurs suivantes, diverses infections, les maladies des organes génitaux, le dysfonctionnement des ovaires.
Les scientifiques déclarent d'une seule voix que la vie de l'embryon se pose dès le moment de la conception, et de ressentir la douleur qu'elle peut avoir sur la sixième semaine. Par conséquent, quel que soit le début ou subi un avortement est assassiner est une créature vivante. Pendant des années, il ya des litiges sur l'opportunité d'interdire l'avortement.
Certains étaient en faveur, d'autres - contre. L'interdiction de l'avortement ne résoudrait pas leur problème, car il y aura beaucoup de gens qui le font en cachette, et c'est encore pire. Le remède ne peut être que dans l'éducation spirituelle des personnes dans la connaissance inestimable de toute vie humaine. Et pour ceux qui ne veulent pas d'enfants, il ya un certain nombre de méthodes de contraception.
Le lien ici :
LES CONSÉQUENCES D'UN AVORTEMENT
Conséquences physiques de l'avortement chez la femme
Troubles ultérieurs de la santé chez la femme
Complications immédiates
Hémoragies, perforation de l'utérus ou de l'intestin et septicémie.
Risque de stérilité
La moitié des cas de stérilité chez la femme sont dûs à un avortement provoqué.
La conception peut être devenue impossible par l'infection des trompes, par adhérences utérines suite à des cicatrices laissées par le curetage, par une dilatation excessive du col.
Ce sont surtout les adolescentes et les femmes qui se font avorter lors de leur première grossesse qui sont le plus touchées.
Pour les femmes utilisant le stérilet, il arrive que survienne une stérilité définitive.
Risque de grossesse extra-utérine
Un avortement augmente les risques de grossesse extra-utérine, lors d'une grossesse suivante nécessitant alors une intervention chirurgicale pour sauver la vie de la mère.
D'ailleurs, le nombre de grossesses extra-utérines a doublé, voire triplé dans les pays industrialisés sur une période de 20 ans. Il y a là une cause de la mortalité maternelle du premier trimestre et de stérilité ultérieure définitive.
Plusieurs études scientifiques ont démontré que parmi les facteurs à risque on trouvait des antécédents de chirurgie des trompes ou de l'utérus dûs à un avortement. Une autre cause de grossesse extra-utérine est, paradoxalement, le stérilet.
Risque pour les grossesses ultérieures
La proportion des fausses-couches et des naissances prématurées augmente après chaque avortement, en raison des lésions de l'utérus.
En France, les fausses-couches sont deux ou trois fois plus fréquentes après deux avortements.
Autres risques
Par ailleurs, les gynécologues constatent qu'un nombre croissant de femmes viennent les consulter pour des irrégularités mentruelles, pertes accrues, rapports sexuels douloureux suite à des avortements.
Il arrive souvent que le stérilet provoque une infection (salpingite généralement) qui se développe et provoque des saignements et produise des douleurs. Il arrive aussi que le stérilet perce le fond de l'utérus et se fiche dans la vessie ou migre près de l'intestin.
Nausées, vomissements, fatigue, douleurs abdominales basses, vertiges, céphalées, asthénie, tension mammaire, saignements à type de métrorragies sont les effets indésirables de l'absortion du Norlevo dite "pilule du lendemain".
Risque de décès chez la femme
Ce risque est loin d'être nul puisque dans une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (O.M.S.) il a été démontré qu'en France, sur une période de 10 ans (1979-1989), le nombre de décès liés à l'avortement étaient de 10 à 15 par an (13 en 1981).
D'ailleurs, selon le Dr Willke, « l'avortement légal, à n'importe quel stade de la grossesse a deux fois plus de chances de tuer la femme qu'un accouchement normal ».
Les séquelles psychiques
Le syndrome post-abortif
L'avortement cause un préjudice psychologique aux femmes qui l'ont subi.
Aussitôt après un avortement, la femme se croit libérée d'un fardeau et des pressions subies mais en réalité il n'en est rien.
Tout d'abord, elle se réfugie dans un état, que les médecins nomment mécanisme de reniement et de refus.
Elle refuse d'accepter sa situation dans ses réalités spécifiques parce qu'elle croit que celles-ci sont trop douloureuses. Elle renie le fait qu'elle ait autorisé à tuer son enfant ; elle nie que ce soit une faute et "rationnalise" le fait que la mort de l'enfant était devenue "nécessaire".
Ce reniement peut durer plus ou moins longtemps mais dépasse rarement les 10 ans.
La femme pour échapper à la douleur morale et pour se punir elle-même, décide de s'engager à fond dans une activité. Pour se débarrasser de sa culpabilité, de sa honte et de la dépression qu'elle a peur d'affronter, la femme peut décider de s'engager dans des "bonnes œuvres"
Parfois, même, il arrive qu'elle sombre dans l'acoolisme pour oublier, voire prendre des drogues ou rompre avec sa vie de famille.
Lorsque la femme perçoit vraiment les causes du désordre psychologique, c'est parce que ce mécanisme de défense par le refus et le reniement fait place à une prise de conscience dont les symptômes sont :
– souvenirs répétitifs et intrusifs dans ses pensées de l'avortement ainsi qu'à l'enfant qui n'est pas né ;
– au cours du sommeil, rêves réguliers concernant l'avortement et l'enfant disparu ;
– actes soudains ou sensations comme si l'avortement recommençait ;
– capacité réduite de répondre et de se situer, voire de s'engager par rapport à l'entourage ;
– sensation de se détacher des autres et de leur devenir étranger ;
– humeur dépressive ;
– accroissement de l'irritabilité et de l'hostilité vis-à-vis des autres ;
– insomnie de plus en plus fréquente et longue, perte de concentration ;
– sentiment de culpabilité d'être encore en vie alors que l'enfant, lui, n'a pas survécu.
Le syndrome post-avortementPour en savoir plus, lire la mise au point du Dr Volff, membre du bureau de Laissez-les-Vivre – SOS Futures Mères, sur ce sujet.
DES TÉMOIGNAGES DE FEMMES SUR LE SYNDROME POST-ABORTIF :
Le lien ici : http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/avortement.htm
LES CONSÉQUENCES D'UN AVORTEMENT Conséquences physiques de l'avortement chez la femme Troubles ultérieurs de la santé chez la femme Complications immédiates Hémoragies, perforation de l'utérus ou de l'intestin et septicémie. Risque de stérilité La moitié des cas de stérilité chez la femme sont dûs à un avortement provoqué. La conception peut être devenue impossible par l'infection des trompes, par adhérences utérines suite à des cicatrices laissées par le curetage, par une dilatation excessive du col. Ce sont surtout les adolescentes et les femmes qui se font avorter lors de leur première grossesse qui sont le plus touchées. Pour les femmes utilisant le stérilet, il arrive que survienne une stérilité définitive. Risque de grossesse extra-utérine Un avortement augmente les risques de grossesse extra-utérine, lors d'une grossesse suivante nécessitant alors une intervention chirurgicale pour sauver la vie de la mère. D'ailleurs, le nombre de grossesses extra-utérines a doublé, voire triplé dans les pays industrialisés sur une période de 20 ans. Il y a là une cause de la mortalité maternelle du premier trimestre et de stérilité ultérieure définitive. Plusieurs études scientifiques ont démontré que parmi les facteurs à risque on trouvait des antécédents de chirurgie des trompes ou de l'utérus dûs à un avortement. Une autre cause de grossesse extra-utérine est, paradoxalement, le stérilet. Risque pour les grossesses ultérieures La proportion des fausses-couches et des naissances prématurées augmente après chaque avortement, en raison des lésions de l'utérus. En France, les fausses-couches sont deux ou trois fois plus fréquentes après deux avortements. Autres risques Par ailleurs, les gynécologues constatent qu'un nombre croissant de femmes viennent les consulter pour des irrégularités mentruelles, pertes accrues, rapports sexuels douloureux suite à des avortements. Il arrive souvent que le stérilet provoque une infection (salpingite généralement) qui se développe et provoque des saignements et produise des douleurs. Il arrive aussi que le stérilet perce le fond de l'utérus et se fiche dans la vessie ou migre près de l'intestin. Nausées, vomissements, fatigue, douleurs abdominales basses, vertiges, céphalées, asthénie, tension mammaire, saignements à type de métrorragies sont les effets indésirables de l'absortion du Norlevo dite "pilule du lendemain". Risque de décès chez la femme Ce risque est loin d'être nul puisque dans une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (O.M.S.) il a été démontré qu'en France, sur une période de 10 ans (1979-1989), le nombre de décès liés à l'avortement étaient de 10 à 15 par an (13 en 1981). D'ailleurs, selon le Dr Willke, « l'avortement légal, à n'importe quel stade de la grossesse a deux fois plus de chances de tuer la femme qu'un accouchement normal ». Les séquelles psychiques Le syndrome post-abortif L'avortement cause un préjudice psychologique aux femmes qui l'ont subi. Aussitôt après un avortement, la femme se croit libérée d'un fardeau et des pressions subies mais en réalité il n'en est rien. Tout d'abord, elle se réfugie dans un état, que les médecins nomment mécanisme de reniement et de refus. Elle refuse d'accepter sa situation dans ses réalités spécifiques parce qu'elle croit que celles-ci sont trop douloureuses. Elle renie le fait qu'elle ait autorisé à tuer son enfant ; elle nie que ce soit une faute et "rationnalise" le fait que la mort de l'enfant était devenue "nécessaire". Ce reniement peut durer plus ou moins longtemps mais dépasse rarement les 10 ans. La femme pour échapper à la douleur morale et pour se punir elle-même, décide de s'engager à fond dans une activité. Pour se débarrasser de sa culpabilité, de sa honte et de la dépression qu'elle a peur d'affronter, la femme peut décider de s'engager dans des "bonnes œuvres" Parfois, même, il arrive qu'elle sombre dans l'acoolisme pour oublier, voire prendre des drogues ou rompre avec sa vie de famille. Lorsque la femme perçoit vraiment les causes du désordre psychologique, c'est parce que ce mécanisme de défense par le refus et le reniement fait place à une prise de conscience dont les symptômes sont : – souvenirs répétitifs et intrusifs dans ses pensées de l'avortement ainsi qu'à l'enfant qui n'est pas né ; – au cours du sommeil, rêves réguliers concernant l'avortement et l'enfant disparu ; – actes soudains ou sensations comme si l'avortement recommençait ; – capacité réduite de répondre et de se situer, voire de s'engager par rapport à l'entourage ; – sensation de se détacher des autres et de leur devenir étranger ; – humeur dépressive ; – accroissement de l'irritabilité et de l'hostilité vis-à-vis des autres ; – insomnie de plus en plus fréquente et longue, perte de concentration ; – sentiment de culpabilité d'être encore en vie alors que l'enfant, lui, n'a pas survécu. Le syndrome post-avortementPour en savoir plus, lire la mise au point du Dr Volff, membre du bureau de Laissez-les-Vivre – SOS Futures Mères, sur ce sujet. DES TÉMOIGNAGES DE FEMMES SUR LE SYNDROME POST-ABORTIF : Le lien ici : http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/avortement.htm |
Campagne de boycott de la Galaxie Pepsico
Le mouvement Pro-Vie Américain a lancé une campagne de boycott des produits fabriqués par la Galaxie Pepsico qui utilise des cellules de reins extraites d'embryons humains avortés dans le cadre de sa recherche d'exhausteurs de goût pour ses boissons...
La société Pepsi, qui doit lancer dans les toutes prochaines semaines son nouveau produit « Pepsi Next », fait face à un boycott de plus en plus vigoureux des militants pro-vie américains.
La compagnie utilise, en effe,t des cellules issues de foetus avortés dans ses recherches pour réhausser le goût de la célèbre boisson. Avec l’aide de l’administration Obama, Pepsi a réussi à obtenir gain de cause.
Dans une décision rendue publique le 28 février, la SEC (Security and Exchange Commission) mise en place par le président Obama a statué: le laboratoire Semonyx, filiale de recherche du groupe PepsiCo’, est autorisé à utiliser des restes de foetus avortés comme rehausseurs de goût.
Cet usage est considéré comme des « opérations commerciales ordinaires »...
Sources : http://www.lifesitenews.com/news/pro-life-groups-call-for-pepsi-boycott-over-aborted-fetal-cell-lines
Sources : http://www.blogdei.com/18615/ladministration-obama-a-tranche-pepsi-pourra-utiliser-des-cellules-de-foetus-avortes-comme-rehausseurs-de-gout/
Pro-life groups call for Pepsi boycott over aborted fetal cell lines
Thu May 26, 2011 14:17 EST
LARGO, Florida, May 26, 2011 (LifeSiteNews.com) – Scores of prolife groups are calling for a public boycott of food giant, PepsiCo, due to its partnership with Senomyx, a biotech company that uses aborted fetal cells in the research and development of artificial flavor enhancers.
LifeSiteNews previously reported on Senomyx’s partnership with major food corporations, most notably PepsiCo, Kraft Foods, and Nestlé.
Pro-life watchdog group, Children of God for Life (CGL), is now joined by major pro-life organizations calling upon the public to target PepsiCo in a boycott.
Pepsi is funding the research and development, and paying royalties to Senomyx, which uses HEK-293 (human embryonic kidney cells) to produce flavor enhancers for Pepsi beverages.
“Using isolated human taste receptors we created proprietary taste receptor-based assay systems that provide a biochemical or electronic readout when a flavor ingredient interacts with the receptor,” says the Senomyx website.
“What they do not tell the public is that they are using HEK 293 – human embryonic kidney cells taken from an electively aborted baby to produce those receptors,” stated Debi Vinnedge, President for CGL, the watch dog group that has been monitoring the use of aborted fetal material in medical products and cosmetics for years.
The aborted fetal cells are not in the product itself. However, “there are many options PepsiCo could be using instead of aborted fetal cells,” noted Vinnedge.
The revelation about Senomyx’s research techniques motivated Campbell Soup to sever all relations with Senomyx.
However, PepsiCo continues their business relationship despite the abortion connection. They drew public ire earlier this year when they responded, saying, “our collaboration with Senomyx is strictly limited to creating lower-calorie, great-tasting beverages for consumers.”
When pressed further, PepsiCo sent out a form letter response saying they had been accused of conducting aborted fetal tissue research.
Bradley Mattes, executive director of Life Issues Institute, said, “While aborted fetal cells aren’t actually in the product itself, the close relationship is enough to repulse most consumers. To our knowledge, this is the first time a food product has been publicly associated with abortion.”
The pro-life groups noted that additional companies collaborating with Senomyx will be targeted for boycott next.
The pro-life organizations are asking the public to boycott all Pepsi drink products and encourage consumers to contact Pepsi management requesting that they sever all ties with Senomyx.
For a list of Pepsi Beverages included in the boycott: http://pepsico.com/Brands/Pepsi_Cola-Brands.html
Le lien ici : http://www.lifesitenews.com/news/pro-life-groups-call-for-pepsi-boycott-over-aborted-fetal-cell-lines
Une brève histoire de l'avortement au Canada (ou Comment nous sommes tombés en amour avec l'infanticide) 1) Introduction Au moment où on se parle, au Canada, n'importe qui peut tuer n'importe quel enfant à naître, pour n'importe quelle raison, de la conception à la naissance. Néanmoins, il y a environ 40 ans, l'avortement était un crime. Que s'est-il passé? Comment le Canada est-il «tombé en amour avec l'infanticide»? Comment sommes-nous passé d'un pays ou il était horriblement mauvais pour les parents d'assassiner leur propre enfant, à un pays qui glorifie l'avortement, à un pays où tuer les enfants est un «droit fondamental» payé avec nos impôts, à un pays où même se tenir trop près d'un avortoir avec une pancarte pro-vie va vous faire aboutir en prison? Dans ce bref essai, je vais tenter d'expliquer comment le Canada est tombé en amour avec la tuerie de ses propres enfants. 2) Trois désistements: expertise, pente glissante, multi-factoriel Primo, je ne suis ni historien, ni sociologue, ni un quelconque autre expert, et SVP contactez-moi si vous remarquez une erreur dans mes faits ou mon raisonnement. Secundo, le mot «brève» dans le titre est presque synonyme avec «incorrect». L'histoire de l'avortement est comme l'histoire de presque n'importe quel autre changement social: il s'est produit graduellement. «L'histoire de fait pas de sauts», et plusieurs personnes humaines ne changent pas d'idée complètement, du jour au lendemain. La métaphore habituelle pour expliquer ceci est la pente glissante. Vous commencez en haut de la pente, et éventuellement vous aboutissez en bas, mais entre ces deux événements, vous occupez des positions spécifiques sur cette pente glissante, une après l'autre, et chaque nouvelle position est très proche de la précédente, mais juste un peu plus près du fond. Tertio, le mot brève dans le titre n'est pas seulement trompeur parce que les grands changement sociaux sont graduels, mais aussi parce que les grands changements sociaux exigent la présence de plusieurs facteurs, c'est-à-dire que le phénomène est multi-factoriel. L'histoire de l'avortement au Canada ne peut pas être expliquée avec un seul facteur, ou une seule personne, ou un seul événement. Plusieurs facteurs entrent en jeu, et je ne réussirai probablement pas à tous les mentionner (mais bien sûr, je vais essayer de parler des plus importants). 3) Quelques chiffres sur l'avortement Avortements au Canada, de 1968 à 2007.. Il faut être prudents avec ces chiffres: Avant 1988, on considérait que la couverture des avortements pratiqués au Canada était de 100 %. En janvier 1988, la Cour suprême du Canada a annulé la loi sur l'avortement de 1969 et certains hôpitaux et ministères provinciaux de la Santé répondants ont interprété cette mesure comme ne les obligeant plus à produire une déclaration aux fins de l'Enquête sur les avortements thérapeutiques. [...] au niveau fédéral [...] Statistique Canada a choisi de traiter [l'Enquête] comme une enquête à participation «volontaire» [note 1, p. 4]. Réduction de l'ensemble de données de base [...] il est de plus en plus difficile de répondre aux demandes, puisqu'on ne possède des renseignements détaillés que pour 43 % des avortements seulement [...] aucune donnée n'est recueillie sur [...] la raison de l'avortement [note 1, p. 10]. Avortements médicaux (pharmaceutiques [c'est-à-dire avec la pilule abortive]): Étant donné l'introduction récente de l'avortement médical, il devient de plus en plus difficile d'assurer la collecte de données sur tous les avortements provoqués. Ainsi, on ne sait pas si des avortements médicaux sont pratiqués dans les cabinets des médecins, en plus des hôpitaux et des cliniques qui sont les lieux habituels. [note 1, p. 3]. Cette dernière mise-en-garde est importante si vous considérez que dans les écoles du Québec, l'infirmière peut donner des pilules abortives à une fille. Pas d'avertissement aux parents, pas d'ordonnance du médecin, pas de rapport à Statistiques Canada. [note 2]. Le nombre d'avortements est probablement encore en train d'augmenter, quoique Statistiques Canada nous dise. Voir aussi statistiques de Éco-Santé Québec [note 8]. 4) Quelques dates importantes Après avoir survolé les changements dans le nombre des avortements, regardons quelques dates importantes dans l'évolution des lois canadiennes en matière d'avortement. Pendant des milliers d'années, tuer les enfants à naître était interdit dans la société occidentale. [...] en 1803, à cause d'améliorations dans la connaissance du développement de la vie humaine dans l'utérus, la Grande-Bretagne a adopté la Loi de Lord Ellenborough. Cette loi déclarait que l'avortement était un crime et une infraction grave à tout moment après la conception. [...] Les interdits britanniques avaient force de loi au Canada lorsque le Canada a rédigé son propre Code Criminel qui est entré en vigueur en 1893 [note 3, 10.1]. 1968. Deux événements importants se sont produits en 1968. D'abord, Pierre Elliot Trudeau a été élu Premier ministre du Canada. Deuxièmement, le chef de la Conférence des évêques catholiques du Canada, Emmett Cardinal Carter, et les autres évêques canadiens ont signé la Déclaration de Winnipeg. Trudeau est important car il était profondément en faveur de l'avortement (de même que pro-divorce, pro-sodomie, etc.), et a eu recours à toutes les tactiques pour manipuler le Canada, afin de faire accepter l'avortement. Par exemple, il ne cessait de dire qu'il était un bon catholique (même si l'Église enseigne que vous êtes automatiquement excommunié si vous êtes obstinément pro-choix). Il louangeait les avorteurs comme Henry Morgentaler comme étant «un bon ami, un grand philanthrope et un vrai humaniste». Il empêchait les gens de son propre parti de s'opposer à l'avortement. Il a habilement fondé toutes les lois canadiennes sur la Charte des droits et libertés, qui est lui-même un document vague ayant besoin d'interprétation, et il a confié cette interprétation à la Cour Suprême, elle-même constituée de juges pro-choix que lui seul nommait à vie! [note 4]. La Déclaration de Winnipeg est importante parce que, qu'on le veuille ou qu'on ne le veuille pas, l'Église catholique avait encore beaucoup d'influence dans ce temps-là. Presque toute ville au Canada a une église catholique, et souvent une école catholique. La majorité des chrétiens canadiens est catholique au moins de nom. De façon encore plus importante, pour les 38 dernières années environ, avec une exception de cinq mois pour Kim Campbell et l'élection récente de Stephen Harper, chaque Premier ministre a prétendu être catholique. La Déclaration de Winnipeg, en gros, a coupé le Canada du Pape et donc de l'Église catholique. Cette Déclaration enseigne une hérésie, c'est-à-dire que «votre conscience décide», que le bien et le mal ne sont pas objectifs, mais plutôt subjectifs. (Cette hérésie a été condamnée par le Pape Jean-Paul II quelques années plus tard, mais les évêques canadiens n'ont jamais rétracté la Déclaration de Winnipeg.) 1969. Le projet de loi C-150, par le Premier ministre Pierre Trudeau et le Ministre de la justice John Turner, a amendé l'Article 251 du Code Criminel du Canada. L'article 251 disait que l'avortement était un crime, mais la sous-section 4 fournit habilement un échappatoire qui ne va que s'agrandir avec le temps. Les avortements sont maintenant «légaux», lorsque pratiqués par un médecin dans un hôpital après approbation de la procédure par un «Comité d'avortement thérapeutique», qui juge que la vie ou la santé d'une femme «est ou serait probablement influencée par la poursuite d'une grossesse». Bien sûr, si des gens peuvent se regrouper et décider de tuer une personne humaine innocente, alors il n'y a rien de mal avec l'avortement! Cet ingénieux cheval de Troie prendra plusieurs années pour déployer toutes ses conséquences maléfiques. 1973. Henry Morgentaler annonce qu'il a, dans l'illégalité, avorté 5 000 enfants. Au mois de mai de cette année, il permet aux caméras de télévision de le montrer en train d'avorter un enfant dans son avortoir. L'avortement est diffusé, le jour de la Fête des mères, sur le réseau national. Il est arrêté de nouveau, mais acquitté par un jury. C'est là un des exemples de «désensibilisation» de la population canadienne par les médias. En répétant continuellement que l'avortement est OK, que les pro-vie sont violents et irrationnels, que les avortements sont un «droit des femmes», et ainsi de suite, les médias canadiens continuent de «tordre» les mentalités canadiennes. Une de leurs tactiques fondamentales peut s'appeler la manipulation verbale. Les enfants à naître deviennent des «grossesses non-désirées» ou «le corps d'une femme», les avortements tout court deviennent les «avortements thérapeutiques», puis ils deviennent des «interruptions volontaires de grossesse», les pro-avortement deviennent les «pro-choix», les bons chrétiens deviennent des «fondamentalistes», la pilule abortive devient «la pilule du lendemain», et ainsi de suite. Parmi les coupables sont les journaux Globe and Mail et Le Devoir, la revue Châtelaine, etc. Aux USA, les lois sur l'avortement qui protègent les enfants sont cassées dans 46 états par la tristement célèbre décision Roe v. Wade. Puisque le Canada suit normalement son gros voisin du sud, il était déjà clair, à ce moment, ce qui allait arriver au Canada. 1982. La Charte canadienne des droits, qui nie complètement les droits de l'enfant à naître, devient partie intégrante de la nouvelle Constitution canadienne. (Souvenez-vous que maintenant toutes les lois dépendent de cette Charte, qui est intentionnellement vague.) Bertha Wilson, une militante pro-avortement, est nommée à la Cour suprême du Canada. Henry Morgentaler planifie des avortoirs illégaux à Toronto et à Winnipeg. 1988. La Cour suprême du Canada casse l'Article 251 du Code Criminel, l'article régissant l'avortement, le déclarant inconstitutionnel. [note 5], [note 6]. La Charte canadienne des droits et libertés montre son vrai visage: un outil pour l'ingénérie sociale faite par les tribunaux. Le Canada est suspendu dans un vide juridique depuis ce temps. Puisque ce qui n'est pas interdit, est permis, ceci signifie que, en pratique, n'importe qui peut tuer n'importe quel enfant à naître pour n'importe quelle raison, de la conception à la naissance. Depuis 1988, les lois sur l'avortement au Canada ne sont plus qu'une question «d'entretien périodique». De temps en temps, un député tente de mettre de l'avant un projet de loi, mais le Premier ministre l'étouffe rapidement (un exemple récent étant C-291 par Léon Benoit, en 2006 [note 7]). Une autre manière de faire cet «entretien périodique» est de continuer à attaquer la morale et la famille (l'échangisme légalisé, la glorification juridique des unions homosexuelles, etc.), comme ça nul n'a le temps de songer à l'avortement. 5) Conclusion Ce qui est arrivé aux lois sur l'avortement au Canada durant une période de 40 ans n'aurait pas été possible sans la collaboration directe d'évêques catholiques corrompus, de Premiers ministres corrompus, et de médias corrompus.. Le lien ici : http://www.inquisition.ca/fr/philo/artic/breve_histoire.htm |
Assassinat de George Tiller
8 juin, 2009 par Martin Daoust dans Actualités
La semaine dernière au Kansas a eu lieu un meurtre qui n’est pas un fait divers.
Le docteur George Tiller, gynécologue-obstétricien, a été assassiné par un militant anti-avortement fanatique.
Le Dr Tiller était l’ennemi n° 1 des pro-life américains, parce qu’il réalisait (un des trois seuls aux États-Unis) des avortements au 3è trimestre (avortements strictement thérapeutiques et absolument légaux), et que sa clinique était ouverte depuis des dizaines d’années.
Il faut avoir vu des protestations contre l’avortement aux USA pour comprendre l’intensité des participants et donc l’intensité des Américains favorables à l’avortement (les pro choice). Il y a quelques années, les mouvements pro-vie ont organisé des manifestations tout l’été devant la clinique du Dr Tiller. 2 700 personnes ont été arrêtées.
Sa clinique a été vandalisée plusieurs fois (colle dans les serrures, trous dans le toit) et lui-même avait déjà fait l’objet d’une tentative de meurtre: une autre fanatique lui avait tiré une balle dans chaque bras.
Les meurtres et tentatives de meurtre de médecins pratiquant l’avortement ont été nombreux dans les années 90, mais Tiller est la première victime du 21è siècle. En autres termes: près d’une dizaine de médecins assassinés quand Clinton était président, aucun sous la présidence de Bush et déjà 1 depuis l’arrivée d’Obama au pouvoir.
Depuis la décision Roe v. Wade de la Cour Suprême, en 1973, qui a légalisé l’avortement aux États-Unis, les mouvements pro life ont agit sur les plans social et politique. Leur action politique a mené plusieurs états à mettre en place des restrictions qui rendent, dans les faits, l’avortement inaccessible dans plusieurs régions du pays et leur participation à la coalition de George W. Bush a été un facteur déterminant dans ces 2 élections. En échange, ils ont obtenu des subventions importantes à des programmes d’éducation sexuelle qui ne parlent que d’abstinence, la nomination de 2 juges de la Cour Suprême pro-vie et l’interdiction aux ONG subventionnées par les USA de faire la promotion de l’avortement (voire de la contraception…). Leur action sociale, radicale, vise à interdire l’accès, physiquement, aux cliniques d’avortement en maintenant de façon permanente des manifestions devant les entrées pour tenter d’intercepter les femmes qui se présentent pour les convaincre de ne pas se faire avorter.
Obama venait juste d’aborder le thème de l’avortement quelques jours plus tôt, lors d’un discours à l’université catholique Notre-Dame, il ne croyait certainement pas devoir faire face à cette question aussi tôt: la nomination de Sotomayor s’est faite presque sans mention du sujet.
Mais les réactions à droite (quel acte horrible, mais il le méritait) montrent bien que les christianistes (pour reprendre l’expression de Sullivan) se sentent en position de faiblesse et vont réagir, sans doute, par la violence.
Et tout cela alors qu’un récent sondage Gallup qui a fait couler beaucoup d’encre annonce: More Americans “Pro-Life” Than “Pro-Choice” for First Time. Nate Silver a sans doute raison quand il mentionne que ce choix manichéen varie considérablement quand on demande aux Américains s’ils sont favorables à l’avortement lorsque la vie de la mère est en danger, mais on constate une lassitude chez les pro choice, qui semblent prêts à laisser le terrain maintenant qu’ils ont regagner la Maison Blance et le Congrès.
Que se passera-t-il maintenant? Le FBI et d’autres services policiers ont augmenter considérablement les ressources dédiées à la protection des médecins et des cliniques. Ce qui, dans le fond, est la meilleure preuve du succès de l’assassin: il a semé la terreur et l’accès à l’avortement est désormais diminué aux USA.
Il n’y aura pas de suite législatives, pas dans un futur proche en tout cas, et tout semble relativement calme sur le front judiciaire: la Cour Suprême ne jugera sans doute pas de causes fondamentales au cours des prochaines années.
Les Américains devront donc vivre encore longtemps la situation actuelle: l’avortement est légal, mais de plus en plus difficilement accessible.
Le lien ici : http://www.politiqueamericaine.com/2009/06/08/assassinat-de-george-tiller/
Le lien ici : http://foicatholique.cultureforum.net/t3207p90-debat-sur-le-crime-d-avortement
Le serment d'Hypocrate
Je jure par Apollon, médecin, par Esculade, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants:je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours,je partagerai avec lui mon savoir, et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement.
Je ferai part des préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître, et aux disciples liés par un engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice.
Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif.
Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.
Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je vois ou entende en société pendant l'exercice ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a pas besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les hommes; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire!