! Santé : L'argent Colloïdal un remède Miraculeux :
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Les antibiotiques naturels que les compagnies pharmaceutiques tentent de vous cacher.
Le fait que la découverte de la pénicilline soit souvent considérée comme un point-charnière de notre évolution n’est guère surprenant : c’est à ce moment-là que nous avons cessé de mourir des conséquences d’une banale infection.
Mais de nos jours, nous abusons clairement de ces mêmes antibiotiques. Et en conséquence, la plupart des bactéries autrefois combattues avec ces antibiotiques s’y sont adaptées, et y sont désormais insensibles. Soudain, les médecins sont dans l’incapacité de prescrire des traitements ayant fait leurs preuves, car ceux-ci n’ont plus aucun effet.
Qui plus est, les antibiotiques peuvent avoir des effets secondaires non-négligeables sur le corps humain. Ils tuent en effet toutes vos bactéries, y compris celles de votre flore intestinale. En abuser est bien souvent synonymes de problèmes gastriques ou de digestion, entre autres. Car les bactéries ne sont pas toutes mauvaises.
Devrions-nous nous priver totalement d’antibiotiques ? Clairement pas. Certains cas infectieux graves sont intraitables sans antibiotiques.
Cela dit, certains médecins ont tendance à abuser des antibiotiques dans leurs prescriptions, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires. Dans ces cas-là, mieux vaut se tourner vers des alternatives naturelles qui peuvent très bien combattre seules les infections. On les connaît rarement, pour la simple et bonne raison qu’il est difficile de les vendre aussi chères que des médicaments!
L’eau salée
Une solution saline est un désinfectant simple et pratique à faire vous-même. Mélangez un peu de sel avec de l’eau, et appliquez cette solution sur les plaies ouvertes et autres coupures afin d’empêcher toute infection. Rincez votre bouche avec cette solution, et vous combattrez ainsi la mauvaise haleine et les gingivites.
L’Ail
L’ail est particulièrement efficace contre les bactéries, et est souvent recommandé en guise de traitement contre tous types d’infections et de problèmes. Vous pouvez même faire, à domicile, votre propre sirop à l’ail, particulièrement efficace contre les infections respiratoires. C’est bon marché, facile à faire, et si vous ajoutez des flocons d’ail à vos repas, vous serez moins souvent sujet à des infections.
La vitamine C
Connaissez-vous le meilleur moyen de combattre une infection ? Il suffit de laisser faire votre système immunitaire ! Votre système immunitaire est composé d’agents bactéricides appelés globules blancs ! Et comment renforcer son système immunitaire ?
En ingérant de la vitamine C. La vitamine C s’avère efficace contre bon nombre de maladies, comme la polio, la diphtérie, et la coqueluche.
L’huile d’origan
Le virus du staphylocoque est un problème qui découle directement de l’usage abusif des antibiotiques.
L’huile d’origan est non seulement un bon antibiotique, mais elle s’avère aussi parfois suffisamment puissante pour contrer les staphylocoques, même lorsque d’autres solutions ont échoué.
Essayez donc d’utiliser ces solutions alternatives dans le cadre de votre quotidien, pour guérir plus vite d’infections. Si vos symptômes sont plus prononcés, et qu’ils ne diminuent pas, alors consultez votre médecin au plus vite. Cela n’est peut-être pas la solution la plus agréable, mais parfois, les médicaments sont la seule solution viable. - See more at: http://francais.mastakongo.com/index.php?p=topic&t_id=1220#sthash.wt1MdnRN.dpuf
Le fait que la découverte de la pénicilline soit souvent considérée comme un point-charnière de notre évolution n’est guère surprenant : c’est à ce moment-là que nous avons cessé de mourir des conséquences d’une banale infection.
Mais de nos jours, nous abusons clairement de ces mêmes antibiotiques. Et en conséquence, la plupart des bactéries autrefois combattues avec ces antibiotiques s’y sont adaptées, et y sont désormais insensibles. Soudain, les médecins sont dans l’incapacité de prescrire des traitements ayant fait leurs preuves, car ceux-ci n’ont plus aucun effet.
Qui plus est, les antibiotiques peuvent avoir des effets secondaires non-négligeables sur le corps humain. Ils tuent en effet toutes vos bactéries, y compris celles de votre flore intestinale. En abuser est bien souvent synonymes de problèmes gastriques ou de digestion, entre autres. Car les bactéries ne sont pas toutes mauvaises.
Devrions-nous nous priver totalement d’antibiotiques ? Clairement pas. Certains cas infectieux graves sont intraitables sans antibiotiques.
Cela dit, certains médecins ont tendance à abuser des antibiotiques dans leurs prescriptions, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires. Dans ces cas-là, mieux vaut se tourner vers des alternatives naturelles qui peuvent très bien combattre seules les infections. On les connaît rarement, pour la simple et bonne raison qu’il est difficile de les vendre aussi chères que des médicaments!
L’eau salée
Une solution saline est un désinfectant simple et pratique à faire vous-même. Mélangez un peu de sel avec de l’eau, et appliquez cette solution sur les plaies ouvertes et autres coupures afin d’empêcher toute infection. Rincez votre bouche avec cette solution, et vous combattrez ainsi la mauvaise haleine et les gingivites.
L’Ail
L’ail est particulièrement efficace contre les bactéries, et est souvent recommandé en guise de traitement contre tous types d’infections et de problèmes. Vous pouvez même faire, à domicile, votre propre sirop à l’ail, particulièrement efficace contre les infections respiratoires. C’est bon marché, facile à faire, et si vous ajoutez des flocons d’ail à vos repas, vous serez moins souvent sujet à des infections.
La vitamine C
Connaissez-vous le meilleur moyen de combattre une infection ? Il suffit de laisser faire votre système immunitaire ! Votre système immunitaire est composé d’agents bactéricides appelés globules blancs ! Et comment renforcer son système immunitaire ?
En ingérant de la vitamine C. La vitamine C s’avère efficace contre bon nombre de maladies, comme la polio, la diphtérie, et la coqueluche.
L’huile d’origan
Le virus du staphylocoque est un problème qui découle directement de l’usage abusif des antibiotiques.
L’huile d’origan est non seulement un bon antibiotique, mais elle s’avère aussi parfois suffisamment puissante pour contrer les staphylocoques, même lorsque d’autres solutions ont échoué.
Essayez donc d’utiliser ces solutions alternatives dans le cadre de votre quotidien, pour guérir plus vite d’infections. Si vos symptômes sont plus prononcés, et qu’ils ne diminuent pas, alors consultez votre médecin au plus vite. Cela n’est peut-être pas la solution la plus agréable, mais parfois, les médicaments sont la seule solution viable. - See more at: http://francais.mastakongo.com/index.php?p=topic&t_id=1220#sthash.wt1MdnRN.dpuf
Mais ces produits, à défaut de faire prendre du poids, sont-ils vraiment inoffensif pour la santé?
L'aspartame (l'un des substitut de sucre les plus utilisé de nos jours...) fut découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler, un chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un médicament antiulcéreux.
Il fallut cependant attendre jusqu'en 1981 avant que la FDA (Food and Drug Administration, organisme américain pour le contrôle des denrées alimentaires) autorise son utilisation dans l'alimentation.
Pour la petite histoire, Pendant plus de 8 ans, la FDA refusa son autorisation à cause des crises d'épilepsie et des tumeurs cancéreuses du cerveau provoquées par ce produit sur des animaux de laboratoire.
La FDA continua à refuser cette autorisation jusqu'à l'arrivée de Ronald Reagan à la Maison Blanche (un ami de Searl...) qui démit de ses fonctions le Commissaire de la FDA responsable.
Le Dr. Arthur Hull Hayes fut alors nommé Commissaire. Cependant, il y avait alors tellement d'opposants à l'autorisation qu'un Commission d'Enquête fut créée.
La commission statua : "Il ne faut pas autoriser l'aspartame."
Le Docteur Hayes Rejeta alors les conclusions de sa propre Commission d'Enquête!!!
Peu de temps après, le Commissaire Arthur Hull Hayes, Jr., autorisa l'utilisation d'aspartame dans les boissons gazeuses. Il quitta ensuite la FDA pour un poste au sein des Relations Publiques de Searle!...
L'aspartame est aujourd'hui de loin la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments! L'aspartame est utilisé dans près de 5 000 produits à travers le monde, dont plus de 2 000 vendus en Europe.
Sa large utilisation vient du fait que l'aspartame a un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du sucre et par conséquent, il suffit de petites quantités pour assurer un goût sucré.
Le problème, c'est que ce produit miracle a le même pouvoir décuplé sur nos ennuis de santé:
La liste des maladies liées à l'ingestion d'aspartame, parfois très graves, pouvant même dans certains cas entraîner la mort est trop importante pour être exposée ici (voir cette liste ici).
Disons seulement que les affections liées à la consommation d'aspartame ont les mêmes symptômes que les maladies suivantes (ou les accroissent):
Fibromylagie; Arthrite; Sclérose Multiple; Maladie de Parkinson; Lupus; Hypersensibilité à de nombreux produits chimiques; Diabètes; Epilepsie;
Maladie d'Alzheimer; Malformations de naissance; Syndrome de fatigue chronique; Lymphoma; Maladie de Lyme; Perte d'attention; Accès de panique; Dépression et autres désordres psychologiques.
Ainsi, si vous ou l'un de vos proches êtes diagnostiqué positif à l'une de ces maladies, intérogés vous sur le rapport éventuel avec votre consommation d'aspartame (si vous consommez beaucoup de produits avec du sucre de synthèse...)
Préservez dès à présent votre santé et celle de vos proches en faisant circuler cette information autour de vous.
C'est trop cher payer que de risquer sa santé pour satisfaire la cupidité des compagnies agroalimentaires...
Pour approfondir le sujet:
- Wikipedia/aspartame
- Aspartame....Mauvaises nouvelles
- dorway.com
(site d'information complet sur les études et dangers de l'aspartame,
en anglais)
- l'amer vérité sur l'aspartame
- Service de (dés)information sur l'Aspartame
(qui annonce joliment sur la page d'accueil du site:
"Bien que ce site soit géré par Ajinomoto, l'un des plus grands fabricants d'aspartame au monde, notre intention est de laisser la science parler d'elle-même."
Un peu comme lorsque des industriels du tabac engagent des médecins pour faire de "vrais études scientifiques" sur les non méfaits de la cigarette...)
Le lien ici : http://www.monblog.ch/guerirlaterre/?story=aspartame-un-poison-si-doux&answered=1#lastreaction
Santé et Stévia
La Stevia : un nouvel édulcorant naturel autorisé en France
L’édulcorant naturel stevia sans calories ni glucide, 300 fois plus sucré que le sucre normal, est appelé à régner sur le marché des édulcorants intenses.. :
http://www.online-information24.blogspot.fr/p/stevia-sante.html
Food: The Ultimate Secret Exposed - PT 1/2
COCA COLA Dans beaucoup d'états des USA les patrouilles ferroviaires chargent deux galons (~ 7,5 litres) de Coca Cola dans leur porte-bagages pour nettoyer le sang sur la route après un accident. Si on met un os dans un containeur avec du Coca Cola, l'os se dissoudra en 2 jours. Pour nettoyer le WC : vous versez une canette de Coca Cola et laissez "reposer ? , ensuite tirez la chasse d'eau. L'acide citrique du Coca Cola ôte les taches sur la vaisselle. Pour enlever des taches de rouille du pare-chocs chromé des autos frottez le pare-chocs avec un morceau de feuille d'aluminium détrempée avec du Coca Cola. Pour nettoyer des objets rongés par des pertes de liquide de batteries d'automobiles, versez une canette de Coca Cola sur la corrosion. Pour enlever des taches de gras des vêtements verser une canette de Coca Cola dans la machine à laver avec les tissus tachés et ajouter la lessive. Le Coca cola aidera à enlever les taches de gras. Le Coca Cola aide même à nettoyer le pare-brise des automobiles.Pour notre information : le principe actif du Coca Cola est l'acide phosphorique. Son PH est 2.8 et dissout un ongle en 4 jours environ. L'acide phosphorique en outre vole le calcium des os et est la principale cause D'augmentation de l'ostéoporose. Il y a quelques années une étude fut réalisée en Allemagne pour connaître les raisons d'apparition de l'ostéoporose chez des enfants de 10 ans (pre-adolescents). Résultat : excès de Coca Cola, à cause du manque de contrôle des parents. Les camions qui transportent le Coca Cola sont identifiés avec une étiquette MATÉRIEL DANGEREUX. Les distributeurs de Coca Cola l'utilisent pour nettoyer les moteurs de leurs camions de plus de 20 ans. Encore un détail : le Coca light est considéré par les médecins et les chercheurs encore plus comme une bombe à retardement à cause du mélange Coca Aspartame, suspecté d'être la cause du Lupus et des dégénérations du système nerveux. Et pour finir, il est conseillé de ne jamais se laver les dents après avoir bu du Coca Cola parce qu'il enlève tout l'émail, et il l'enlève pour toujours !Le lien ici : http://www.same-story.com/sante-maladies/autres/quelques-donees-sur-le-coca-cola-c-est-un-poison-150816b
True facts about Coca Cola Zero! Poison? http://www.youtube.com/watch?v=uufP520r8sI Coca-Cola + Mentos = Death! http://www.youtube.com/watch?v=1IdURkDniB0&feature=related Poison - Un Scientifique japonais produit de la viande artificielle.flv http://www.youtube.com/watch?v=hh6lWFg3QBI |
Coca-Cola, l'enquête interdite de William Reymond Présentation de l'éditeur " Comme beaucoup de personnes de ma génération, Coca-Cola avait nourri mes rêves d'Amérique. Mais mon enquête venait de me prouver combien la frontière entre le désir et le rejet pouvait être mince. Arrivé à son terme, je n'avais qu'une certitude : il était impossible de faire l'impasse sur la vérité. " Après l'affaire Dominici, l'assassinat de JFK et le Bush Land, William Reymond révèle les arcanes de la Compagnie la plus célèbre de la planète. Des véritables origines de la boisson à la présence de cocaïne dans sa composition initiale, des raisons réelles du fiasco du New Coke aux enjeux politiques du rachat raté d'Orangina, des difficultés à s'imposer en France aux multiples coups de génie ayant émaillé son histoire, de la guerre des colas aux stratégies de conquête mondiale, Coca-Cola, l'enquête interdite dévoile les coulisses d'un véritable empire. Pour la première fois aussi, au terme d'une investigation aussi passionnante qu'effrayante explorant les ombres de la Seconde Guerre mondiale, William Reymond découvre le plus grand secret de la Compagnie. Une révélation qui, preuves à l'appui, met la légende à l'épreuve. Biographie de l'auteur Journaliste français vivant aux Etats-Unis, William Reymond a déjà publié de nombreux ouvrages chez Flammarion, dont Toxic : Obésité, malbouffe, maladies... Enquête sur les vrais coupables et les best-sellers Dominici non coupable, JFK autopsie d'un crime d'Etat et JFK le dernier témoin. La critique [evene] par Mikaël Demets Présent dans tous les pays du monde, mot le plus connu à travers la planète après "O.K.", Coca méritait bien une enquête. L'intérêt a ceci d'intéressant qu'elle n'est pas pleine de haine, qu'on ne nous présente pas l'entreprise comme un grand Satan. Cette enquête est née de la passion d'un collectionneur, par ailleurs habitué des enquêtes sur des sujets de premier plan. Du coup, c'est par hasard que la découverte de zones d'ombres dans l'histoire du géant du soda l'a entraîné à rédiger cet ouvrage. L'auteur a mis le doigt sur d'étranges incohérences, des dates trafiquées, des pans de l'histoire de la boisson qui ont disparu, parfois alors qu'ils ne présentaient finalement que peu de risques de nuire à la marque. Mais pour des raisons d'image, et donc des motifs commerciaux, on nous ment. De la naissance de la boisson jusqu'aux dernières affaires, le rachat d'Orangina notamment, les réalités historiques ont constamment été voilées, modifiées par la compagnie. Grâce à son écriture vive et rapide, ses chapitres courts, William Reymond nous entraîne dans un essai au rythme d'un polar. On découvre, ou l'on se voit confirmer, le comportement sans pitié d'une entreprise capitaliste à outrance, dont le but se résume à tuer l'autre pour survivre. Plus grave, l'auteur met le doigt sur la véritable politique secrète de Coca durant la Seconde Guerre mondiale qui consistait à ne perdre aucun marché. Paroxysme du cynisme, Coca est alors devenu "partenaire officiel" et champion du patriotisme côté américain, mais également en face, sous le IIIe Reich, en renommant sa boisson en... Fanta. La seule politique de Coca, c'est la sienne. On s'en doutait déjà, ce livre nous le montre magistralement. De l'excellent travail. Le lien ici : http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=8716.15 |
Connaissez- vous la stévia ?C'est une plante utilisée en médication mais aussi une alternative précieuse au sucre. En Europe et aux Usa, cette plante est encore controversée, ils n'ont pas encore fait d'études assez poussées, par contre en Asie et en Amérique du Sud, les études ont donnée des résultats positifs et on voit cette plante remplacer le sucre dans bon nombre de produits... Faites-vous votre avis, ce n'est pas les articles qui manquent : par exemple ici :http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=stevia_ps
ON DEVRAIT EN PARLER POUR MIEUX VIVRE, POUR CREER NOTRE AVENIR 04.07.2011 MSG…du poison lent caché partout MSG excites your brain cells to death!
Poison lent L’additif alimentaire MSG (le Glutamate monosodique) est un poison lent. Le MSG se cache derrière 25 noms ou plus, tel que; l’Assaisonnement (Arôme) Naturel. Le MSG est même dans votre café favori chez Tim Horton et Starbuck! Je me suis demandé s’il pourrait y avoir un actuel produit chimique causant l’épidémie d’obésité massive, et c’est ce qu’a fait un de mes amis, John Erb. Il était assistant de recherche à l’Université de Waterloo en Ontario, au Canada, et a passé des années à travailler pour le gouvernement. Il a fait une découverte étonnante en passant en revue des journaux scientifiques pour l’écriture de son livre intitulé L’empoisonnement lent de l’Amérique. Dans des centaines d’études à travers le monde, des scientifiques créaient des souris et des rats obèses pour les utiliser dans des tests d’études portant sur les régimes ou sur le diabète. Aucune espèce de rat ou de souris n’est naturellement obèse, alors les scientifiques doivent les créer. Ils en font des créatures obèses morbides en les injectant avec du MSG dès leur naissance. Le MSG triple la quantité d’insuline que le pancréas sécrète, causant l’obésité chez les rats. Ils ont même un nom pour les rongeurs gras qu’ils créent : «RATS TRAITÉS AU MSG».
Quand je l’ai entendu, j’ai été choqué. Je suis allé dans ma cuisine et j’ai vérifié le garde-manger et le réfrigérateur. Le MSG était dans tout : Les soupes Campbell, les Doritos Hostess, les chips Lays assaisonnées, la garniture Ramen, le hamburger helper de Betty Crocker, la sauce gravy de Heinz, les repas préparés gelés de Swanson et des sauces à salade Kraft, particulièrement les faibles en calories, etc. Les articles qui n’ont pas fait marquer de MSG sur leur étiquette de produit avaient quelque chose appelé «Protéine Végétale hydrolysée», qui est juste un autre nom pour le Glutamate monosodique. Il était choquant de voir jusqu’à quel point la nourriture, dont nous nous alimentons ainsi que nos enfants chaque jour, était remplis de cette substance. Le MSG est caché sous plusieurs différents noms pour tromper ceux qui lisent la liste d’ingrédients, ainsi ils ne pourront se tenir à jour. (D’Autres noms pour le MSG sont en anglais : « Accent », « Aginomoto », « Natural Meat Tenderizer (Attendrissant à Viande Naturelle) », etc) Mais ça n’a pas arrêté là. Quand notre famille est sortie manger, nous avons commencé à demander aux restaurants quels articles du menu contenaient du MSG. Plusieurs employés, même les gérants, ont juré qu’ils n’utilisaient pas de MSG. Mais quand nous demandons la liste d’ingrédients, qu’ils nous procurent, sous toute évidence, à contrecoeur, le MSG et la Protéine Végétale Hydrolysée étaient partout.
Burger King, McDonald’s, Wendy’s, Taco Bell, chaque restaurant même les restaurants de meilleur qualité comme le TGIF, le Chili’s, le Applebee’s et Denny’s, utilise le MSG en abondance. Le restaurant PFK (Kentuckyfried chicken) a semblé être le pire contrevenant. Le MSG était dans chaque plat de poulet, sauce à salade et la sauce brune. Pas étonnant que j’aime manger cette couche sur la peau car leur épice secrète contient du… MSG! Alors pourquoi le MSG est dans autant de produits alimentaires que nous mangeons? Est-ce que c’est un agent de conservation ou une vitamine ? Pas selon mon ami John Erb. Dans son livre «l’Empoisonnement Lent de l’Amérique», il stipule que le MSG est ajouté à l’alimentation pour l’effet de dépendance que ça provoque chez l’humain. Même le site Web de propagande commandité par le groupe de lobby des fabricants alimentaires soutenant l’utilisation du MSG, explique que la raison pour laquelle ils l’ajoutent à l’alimentation est pour faire manger davantage les gens. Une étude sur des personnes âgées a démontré que les gens plus vieux mangent davantage lorsque du MSG est ajouté à leur nourriture. L’association du groupe de lobby pour le MSG dit que de manger plus est une bonne chose pour les gens âgés, mais que fait-il au reste de nous ? « Je te gage que tu ne peux pas en manger qu’une seule (publicité des chips Lays)», prend une toute nouvelle signification lorsque le MSG est impliqué! Et nous nous demandons pourquoi la nation est au-dessus du poids santé! Les fabricants de MSG, eux-mêmes, admettent qu’ils rendent dépendant les gens à leurs produits. Cela fait que les gens choisissent leurs produits plutôt que ceux des compétiteurs, et fait manger davantage les gens que si le MSG n’avait pas été ajouté. Non seulement le MSG a été scientifiquement prouvé comme causant l’obésité, c’est une substance provoquant la dépendance comme la nicotine dans le tabac. Depuis son introduction dans l’alimentation américaine, il y a 50 ans, le MSG a été ajouté en de plus en plus grandes doses aux repas préparés, aux potages, aux casse-croûtes et aux menus de la estauration rapide que nous sommes tentés de manger chaque jour. La FDA n’a établi aucune limite quant à la quantité qui peut être ajouté à la nourriture.
Elle prétend qu’il est sécuritaire d’en manger de n’importe qu’elle quantité. Mais comment peuvent-ils prétendre qu’il est sûr quand il y a des centaines d’études scientifiques avec des titres comme ceux-ci : «Les rats obèses aux glutamate monosodique (MSG) comme modèle pour l’étude d’exercices chez les obèses.» Gobatto CA, Mello MA, Souza CT, Ribeiro IA. Res.Commun Mol Pathol Pharmacol. 2002. «L’adrénalectomie supprime la sécrétion de sérotonine hypothalamique tant chez les rats normal que ceux obèse aux MSG.» Guimaraes RB, Tell MM, Coelho VB, Mori C, Nascimento LE CM, Ribeiro. Brain Res. Bull. Août 2002. «L’obésité provoquée par le traitement néonatale au glutamate monosodique chez des rats spontanément hypertensive : un modèle animal de facteurs de risque multiples.» Iwase M, Yamamoto M, Iino K, Ichikawa K, Shinohara N, Yoshinari Fujishima. Hypertens Res. Mars 1998. «Des lésions hypothalamiques provoquées par l’injection de glutamate monosodique durant la période d’allaitement et le développement subséquent de l’obésité.» Tanaka K, Shimada M, Nakao k kusumoki. Exp Neurol. Octobre 1978. Non, la date de cette dernière étude n’était pas une erreur de frappe; elle a été publié en 1978. Tant la «communauté de recherche médicale» que les «manufacturiers en alimentation» connaissaient les effets secondaires du MSG depuis des décennies. Beaucoup plus, des études mentionnées dans le livre de John Erb lient le MSG au diabète, aux migraines et aux maux de tête, à l’autisme, aux DADH et même àl’Alzheimer.
Ainsi que pouvons-nous faire pour arrêter les manufactures alimentaires de mettre ce MSG, engraissant et provoquant une dépendance, dans nos provisions alimentaires et causant l’épidémie d’obésité que nous voyons maintenant ? Il y a plusieurs mois, John Erb a présenté son livre et ses soucis à un des fonctionnaires gouvernementaux de la santé les plus hauts au Canada. Tandis qu’il était assis dans le bureau gouvernemental, le fonctionnaire lui a dit, «Bien sûr, je sais à quel point le MSG est mauvais, je ne toucherais pas à cette substance». Mais ce haut fonctionnaire refuse de dire au public ce qu’il sait. La meilleure façon que vous pouvez aider à vous sauver et à sauver vos enfants de cette épidémie provoquée par cette drogue (MSG) est en expédiant cet article à tous et chacun. Tapez les mots suivants : «MSG Obese» et lisez quelques-unes des 115 études médicales qui apparaissent.
Nous, le public, ne voulons pas être des rats dans une expérience géante et nous n’approuvons pas les aliments qui nous transforme en une nation d’obèse, léthargique, en mouton accro, alimentant à la base l’industrie alimentaire pendant que nous attendons la transplantation cardiaque, l’amputation causée par le diabète, la cécité, ou d’autres désordres causés par l’obésité tel que la mortalité. Avec votre aide nous pouvons mettre fin à ce poison. Faites votre part en propageant ce message du bouche à oreille, par courriel ou par la distribution de cette liste imprimée à vos amis dans le monde entier pour arrêtez cet «Empoisonnement lent de l’HOMME» par l’industrie alimentaire. Donc : Glutamate monosodique = MSG L’Assaisonnement (lorsque non défini) = MSG (Arôme) Naturel = MSG Protéine Végétale hydrolysée = MSG Accent = MSG Aginomoto = MSG Natural Meat Tenderizer = MSG Attendrissant à Viande Naturelle = MSG *
La MALTODEXTRINE contient souvent du glutamate dissimulé aussi. (de ce fait , on peut lire une liste d’ingredients sans glutamate, alors qu’elle en contient via la maltodextrine) Dénoncer le MSG est de notre responsabilité à tous, alors passez le mot. Auteur inconnu. Complément d’information: ICI Un de plus à rajouter dans notre collection… Un endroit où on en retrouve en grande concentration c’est dans les mets chinois…la sauce soya entre autre, mais il y en a pratiquement aussi dans tout les mets pré-cuisinés . Lisez les étiquettes!!! Voici des glutamates (ou MSG) à l’état quasi-brut : http://monfavori.com/upload/images/produit_399.jpg Un livre à conseiller sur le sujet: http://aps94.free.fr/IMG/jpg/aspartame-3-livre-corinne-gouget.jpg Trouvé sur l’Eveil 2011 Et bien oui ouvrons les yeux pour éviter de manger du poison… Il est vrai que le mieux c'est préparer soi-même les repas, de manière la plus naturelle avec des produits frais sans additifs….
Le lien ici : http://etincelle46.bleublog.lematin.ch/archive/2011/07/04/msg-du-poison-lent-cache-partout.html
Les dangers de l’aspartame et le silence des autorités publiques
Dans son nouveau livre, Notre poison quotidien, Marie-Monique Robin s'attaque à l'aspartame et à la façon dont cette substance a été mise sur le marché. OWNI publie les bonnes feuilles de son enquête. Dans son livre Notre poison quotidien aux éditions de la Découverte (à paraître le 24 mars) et dans le documentaire (diffusé le 15 mars sur Arte), Marie-Monique Robin revient sur trois cas emblématiques des problèmes liés à l’industrie agroalimentaire : les pesticides, l’aspartame et le bisphénol A. Elle s’arrête notamment sur l’aspartame (E951), édulcorant de synthèse au pouvoir sucrant deux cents fois supérieur à celui du sucre de canne et découvert par James Schatter, chimiste de la société pharmaceutique G.D. Searle. L’aspartame est composé de trois molécules : l’acide aspartique (40%), la phénylalanine(50%) et le méthanol(10%). Ce sont les effets nocifs potentiels de chacune de ces trois molécules qui alimentent la controverse depuis quarante ans. MM Robin rappelle dans son enquête la polémique importante qui a précédé l’homologation de l’aspartame par la Food and Drugs Administration. Celle-ci fut prononcée peu après la nomination d’un certain Donald Rumsfeld à la tête de Searle. Et cette décision enclencha l’effet “boule-de-neige” dans les administrations européennes qui prirent le même chemin, autorisant tour à tour l’aspartame. OWNI publie les bonnes feuilles du livre de Marie Monique Robin sur le silence des autorités publiques en réponses aux différentes alertes sur les méfaits possibles de cet édulcorant.
Le lien ici : http://owni.fr/2011/03/15/les-dangers-de-l%E2%80%99aspartame-et-le-silence-des-autorites-publiques/Le savant n’est pas l’homme qui fournit de vraies réponses, c’est celui qui pose les vraies questions. Claude Lévi-Strauss.« Ceux qui attaquent la sécurité de l’aspartame attaquent aussi les décisions indépendantes des autorités sanitaires et réglementaires du monde entier. Le fait est, Monsieur le sénateur, que toutes les autorités ou institutions scientifiques, médicales ou réglementaires, non seulement des États-Unis mais aussi partout dans le monde, qui ont examiné le dossier scientifique concernant la sécurité de l’aspartame sont toutes parvenues, indépendamment et séparément à la même et unique conclusion, à savoir que l’aspartame est sans danger1 . » Ces fortes paroles de Robert Shapiro sont particulièrement savoureuses quand on sait que l’aspartame doit son succès mondial à un (peu reluisant) « effet de troupeau », ressemblant à s’y méprendre à celui qui conduisit les moutons de Panurge à leur perte. Dans Le Monde selon Monsanto, j’ai longuement évoqué le parcours de l’ambitieux et arrogant patron de la firme de Saint Louis, qui voulait révolutionner la planète avec les OGM. Il a commencé sa (fulgurante) carrière comme avocat chez… Searle. En 1983, il est nommé P-DG de NutraSweet, la filiale de la firme pharmaceutique chargée de produire l’aspartame (qui est vendu aux États-Unis sous le nom de « NutraSweet »). Il est confirmé dans ses fonctions en 1985, lorsque Searle est rachetée par… Monsanto, dont il prendra la tête en 19952 . 1987 : les révélations de la commission Metzenbaum du Sénat américainEn ce jour de novembre 1987, Robert Shapiro est cité comme témoin dans une audition sénatoriale à Washington, organisée par Howard Metzenbaum, un élu démocrate de l’Ohio qui n’a jamais fait mystère de son opposition à l’aspartame. Conscient que l’interdiction pure et simple de l’édulcorant est un mirage hors de portée, il bataille alors pour obtenir ce qu’il considère comme une mesure de salubrité publique, à savoir l’étiquetage obligatoire de la quantité d’aspartame contenue dans les produits alimentaires. Lors d’une séance du Congrès qui s’est tenue le 5 mai 1985, il s’interrogeait déjà en ces termes : « Avec toutes les inquiétudes concernant la sécurité du NutraSweet, est-ce qu’il n’est pas sensé, logique, que les individus et leurs médecins sachent combien d’aspartame contient leur soda light ? En quoi est-ce si terrible d’indiquer la quantité ? De quelle autre manière un consommateur ou son médecin peut-il savoir s’il a dépassé les limites d’une consommation raisonnable, tout particulièrement pendant les mois d’été3 ? » J’ai consulté les cinq heures d’enregistrement de l’audition du 3 novembre 1987, disponibles sur le site de la chaîne parlementaire C-Span4 .Et je dois dire que j’ai été fascinée par la capacité des Américains à déballer très officiellement toute une série de vérités fort dérangeantes, même si cela ne change pas grand-chose au bout du compte – en l’occurrence, l’aspartame n’a toujours pas été interdit ni même étiqueté près d’un quart de siècle plus tard. C’est ainsi que j’ai découvert que le Pentagone avait mis la substance sur une liste de produits candidats pour le développement d’armes chimiques. Ou que pas moins de dix hauts fonctionnaires de la FDA, qui avaient œuvré dans l’entourage d’Arthur Hayes, le patron de l’agence fédérale de 1981 à 1983, pour ficeler l’homologation de l’aspartame d’abord pour les produits secs (1981), puis pour les boissons gazeuses (1983), avaient ensuite été recrutés par Searle ou Monsanto. Parmi eux : un certain Michael Taylor. Dans mon enquête sur Monsanto, j’ai raconté comment cet avocat d’un cabinet conseil de la multinationale avait été nommé en 1991 numéro deux de la FDA (où il restera trois ans) pour rédiger la (non)-réglementation des OGM, puis deviendra en 1998 vice-président de Monsanto, firme pionnière en la matière. Considéré comme l’archétype de la pratique des « portes tournantes », il avait commencé son activité pendulaire entre les secteurs privé et public dès le début des années 1980, puisqu’il représenta la FDA lors du Public Board of Inquiry sur l’aspartame. Quant à Arthur Hayes, qui quitta l’agence en novembre 1983, dès sa mission accomplie, il devint consultant de Burson-Marsteller, l’une des firmes de communication préférées de NutraSweet et de Monsanto5 . J’ai découvert aussi que, sollicité par le sénateur Metzenbaum, le Government Accountability Office (GAO), considéré comme le « bras investigateur du Congrès », avait entendu soixante-sept scientifiques : « Plus de la moitié avait déclaré avoir quelques inquiétudes concernant la sécurité de l’aspartame » – douze d’entre eux avaient reconnu « être très préoccupés6 ». Et j’ai découvert encore que, cinq ans après sa mise sur le marché, l’aspartame était le produit pour lequel la FDA avait reçu le plus de plaintes spontanées, dont 3 133 concernaient des « troubles neurologiques ». Pour incarner les (nombreux) « effets secondaires » – j’y reviendrai – de la poudre blanche qui a « conquis les papilles des Américains », selon les termes du sénateur Metzenbaum, celui-ci a convié le major Michael Collins, un pilote de l’US Air Force. Adepte des footings carabinés (« sept à dix kilomètres dans le désert du Nevada »), l’officier avait pris l’habitude de boire « au moins un gallon [3,8 litres] de Coca light par jour ». Progressivement, il est pris d’imperceptibles tremblements dans les bras et mains ; puis, le 4 octobre 1985, il perd conscience et fait une crise d’épilepsie. Après un arrêt maladie, il s’envole pour le désert australien où il est privé de sa boisson favorite : les symptômes disparaissent. De retour aux États-Unis, il reprend ses bonnes vieilles habitudes. Et les tremblements reprennent, jusqu’à une nouvelle crise d’épilepsie. Un médecin lui recommande d’éviter tous les produits contenant de l’aspartame : « Je l’ai fait, a-t-il expliqué la voix émue, et tous mes symptômes ont définitivement disparu. Mais depuis, je n’ai plus le droit de voler, car l’armée considère que je suis invalide7 … » D’aucuns diront que ce témoignage est « anecdotique ». Mais tel ne fut pas l’avis de Richard Wurtman, une sommité américaine dans le domaine de la neurologie, qui dirigeait alors le centre de recherche clinique du célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT). Lors de son audition au Sénat, il a présenté une étude qu’il avait conduite sur deux cents consommateurs d’aspartame souffrant de crises d’épilepsie, assorties de migraines et de vertiges fréquents, alors qu’ils n’avaient aucun antécédent ni aucune cause physiologique détectable8 . Avec l’assurance tranquille du spécialiste à qui on ne peut en compter, le docteur Wurtman a expliqué que l’origine de ces troubles pouvait être la phénylalanine, un acide aminé sur lequel il « travaille depuis quinze ans et sur lequel son laboratoire a publié plus de quatre cents études ». Coupant court aux (pauvres) arguments des représentants de NutraSweet, qui ont répété à l’envi que « les acides aminés de l’aspartame sont identiques à ceux que l’on trouve dans les protéines des aliments », le neurologue a au contraire affirmé que la « consommation d’aspartame n’avait rien à voir avec celle d’une protéine normale, parce que la phénylalanine n’est pas associée à d’autres acides aminés. C’est pourquoi elle a un effet bien supérieur sur le plasma sanguin, ce qui peut affecter la production des neurotransmetteurs et les fonctions du cerveau ». « Combien d’études ont été réalisées pour mesurer les effets de l’aspartame sur le cerveau ?, a demandé le sénateur Metzenbaum. – À ma connaissance, aucune », a répondu sans hésiter le docteur Wurtman, qui a alors raconté des choses fort intéressantes… Les manœuvres de l’ILSIEn 1980, le neurologue avait témoigné devant le Public Board of Inquiry en faveur de l’aspartame : il estimait qu’incluse dans des produits secs, la substance ne présentait que des risques infimes, car sa consommation resterait limitée. Il travaillait alors comme consultant pour l’International Life Sciences Institute (ILSI), l’organisme de « recherche » fondé en 1978 à Washington par des fabricants de l’agroalimentaire (voir supra, chapitre 12), dont le directeur était Jack Filer, un scientifique de l’université de l’Iowa qui avait « testé » l’aspartame pour le compte de Searle.En 1983, Richard Wurtman apprend que la firme a demandé une extension de l’homologation du NutraSweet pour la fabrication de sodas. Il s’en inquiète auprès de l’ILSI, car, connaissant l’engouement de ses compatriotes, notamment des enfants, pour les boissons gazeuses, il craint qu’un apport massif de phénylalanine dans la chaîne alimentaire n’entraîne de graves conséquences sanitaires. Il propose donc de conduire une étude pour mesurer la capacité de l’aspartame à « modifier la chimie du cerveau » et à « favoriser le déclenchement de crises d’épilepsie9 ». Informé de son projet, Gerald Gaull, le vice-président de Searle, lui rend visite dans son laboratoire du MIT et le menace de faire jouer son droit de veto auprès de l’ILSI pour que les fonds que lui verse l’organisme soient coupés. « J’ai compris que l’industrie n’avait aucune volonté de tester véritablement les effets potentiels de son produit, a expliqué Richard Wurtman lors de l’audience, et j’ai décidé de me passer de son aide financière. » Au moment de démissionner de son poste de « consultant », il écrit une lettre à Robert Shapiro : « Cher Bob, je pense que tu seras d’accord avec moi si je dis que ce que j’apporte à Searle, c’est ma capacité de lui dire des choses qu’elle préférerait ne pas entendre pour l’aider à trouver des solutions. L’une de ces choses, c’est que certains consommateurs peuvent développer des symptômes médicaux significatifs s’ils ingèrent de grandes quantités d’aspartame, notamment lorsqu’ils suivent un régime pour perdre du poids. Si les études financées par Searle sont censées contribuer à la compréhension des symptômes de ces gens-là, alors les études doivent les inclure et ne pas se limiter à ceux qui ne consomment qu’un ou deux sodas par jour10 . » Lors de l’audience, le docteur Wurtman a stigmatisé les « études financées par l’industrie qui ne durent qu’un ou deux jours avec une ou deux doses d’aspartame. Comme nous savons que les symptômes apparaissent généralement après plusieurs semaines de consommation de la substance, les études d’un ou deux jours ne servent à rien ». « Le problème, a-t-il poursuivi, c’est qu’il n’y a pas d’argent public pour conduire de vraies études. Je connais plusieurs collègues qui ont déposé des projets et à qui on a répondu qu’il fallait demander le soutien de l’industrie. Moi-même, je poursuis mes travaux en puisant sur les fonds propres de mon laboratoire. » Ce système pervers, qui permet aux fabricants de verrouiller la recherche sur leurs produits, a été confirmé par deux autres scientifiques auditionnés par les sénateurs. « Les effets de la phénylalanine sur les fonctions cérébrales des humains n’ont jamais été étudiés, a ainsi déclaré Louis Elsas, un généticien de l’université Emory d’Atlanta. Des millions de dollars ont été dépensés pour des études inutiles qui n’ont jamais traité ces questions. » Spécialisé en pédiatrie, le chercheur s’inquiétait particulièrement des effets de l’acide aminé sur les fœtus. « Nous savons que le niveau de phénylalanine présent dans le sang de la mère est quatre à six fois supérieur après avoir passé le placenta et la barrière sang-cerveau11 du fœtus, a-t-il expliqué. Cette capacité de concentration peut entraîner un retard mental, des microcéphalies et des malformations congénitales. Selon le même mécanisme, il pourrait se produire des dommages cérébraux irréversibles chez les bébés de zéro à douze mois. » « Avez-vous eu des contacts avec l’ILSI ?, a demandé Howard Metzenbaum. – Oui, et ce ne fut pas une bonne expérience, a répondu le docteur Elsas. Comme j’avais exprimé en privé et publiquement mes inquiétudes, l’ILSI m’a demandé d’écrire un projet de recherche. Ce que j’ai fait, mais je n’ai jamais eu de réponse. En revanche, j’ai vu que le protocole de l’étude que j’avais élaboré a été repris par des laboratoires payés par l’industrie. » Endocrinologue et professeur de médecine à l’université de Californie, William Pardridge a vécu une expérience similaire avec l’ILSI, qui « systématiquement a réservé ses fonds à des alliés au sein de la communauté scientifique en refusant son soutien à ceux qui soulevaient des questions sanitaires (( Ibid. )) ». Travaillant spécifiquement sur le transport de la phénylalanine à travers la barrière sang-cerveau, il a déposé deux projets de recherche sur les effets de l’aspartame sur le cerveau des enfants, mais ils ont été refusés. Face à ces accusations circonstanciées, les représentants ou collaborateurs de l’ILSI ont fait bien pâle figure. Parmi eux, John Fernstrom, psychiatre à l’université de Pittsburgh, a essayé de botter en touche. « Je ne peux pas imaginer qu’un enfant boive cinq canettes de coca light par jour, la quantité nécessaire pour qu’il atteigne la DJA de l’aspartame, a-t-il ironisé. C’est impossible ! » Puis, il s’est lancé dans une discussion surréaliste sur la « vitesse de dégradation de l’aspartame », qui serait « cinq fois plus rapide chez les rats que chez les hommes ». Manifestement exaspéré, le sénateur Metzenbaum a coupé court à sa langue de bois, en exhibant de derrière son pupitre, un à un, avec un sourire coquin, plusieurs dizaines de produits courants qui contiennent de l’aspartame : boissons gazeuses, chewing-gums, céréales, yaourts, médicaments, vitamines, etc. L’accumulation très théâtrale des produits a déclenché des salves d’applaudissement dans l’assistance. Octobre 2009, la FDA persiste et signe : « La substance est sûre »« Je n’ai aucun scrupule à dire que si nous basons la quantité d’aspartame autorisée dans nos aliments sur les études de Searle, alors c’est un vrai désastre. » Après les embrouillaminis des scientifiques de l’ILSI, le témoignage de Jacqueline Verrett est apparu d’une étonnante limpidité, provoquant un silence religieux dans la salle de l’audience. Très stricte avec ses lunettes carrées et son tailleur de vieille fille rangée, le docteur Verrett a travaillé à la FDA comme biochimiste et toxicologue de 1957 à 1979. En 1977, elle fit partie de l’équipe de Jerome Bressler et eut donc accès aux données brutes des trois fameuses études (celle sur le DKP et les deux sur la tératogénicité) qui ont fondé la DJA de l’aspartame aux États-Unis comme en Europe (voir supra, chapitre 14). Avec un ton pince-sans-rire, elle a ironisé sur les « animaux remis dans l’étude après extraction de leurs tumeurs », « les rats morts, puis ressuscités » et a tranché : « Il est impensable qu’un toxicologue digne de ce nom, après avoir effectué une évaluation complète et objective de ces données, ne conclut pas qu’il est impossible d’interpréter ces études et qu’il faut les refaire. » Or, a-t-elle asséné, « j’ai vérifié la littérature scientifique récente et je n’ai trouvé aucune étude qui ait tenté de reproduire ces recherches pour résoudre les questions soulevées ; […] de sorte que nous ne pouvons absolument pas être sûrs d’avoir la bonne DJA ».Décédée en 1997, Jacqueline Verrett a publié en 1974 un livre iconoclaste intitulé Eating May be Hazardous to your Health (Manger peut être dangereux pour votre santé), où elle racontait son travail à la FDA. Bravant la réputation de la célèbre agence, elle n’hésitait pas à écrire : « Malheureusement, notre alimentation n’est pas la plus sûre du monde. […] Si certains additifs alimentaires étaient réglementés comme des médicaments, ils seraient interdits, sauf à être vendus sur prescription médicale, et devraient alors être accompagnés d’une mise en garde pour les femmes enceintes12 . » Elle donnait l’exemple du colorant rouge citrus n° 2, qui provoque des « mort-nés, des morts fœtales et des malformations congénitales chez les animaux13 ». La toxicologue racontait aussi le rôle qu’elle a joué dans l’interdiction aux États-Unis du cyclamate (E 952, toujours autorisé en Europe). Le 1er octobre 1969, elle avait provoqué un cataclysme en révélant sur la chaîne NBC les résultats d’une étude qu’elle avait menée sur 13 000 embryons de poussins. Elle leur avait injecté du cyclamate et ils étaient nés avec de « graves malformations congénitales » : « Colonnes vertébrales et pattes déformées, phocomélie14 . » Faisant le tour des centaines d’additifs alimentaires autorisés par la FDA, dont la « majorité n’a jamais été testée », elle déplorait : « Nous sommes tous embarqués dans une expérimentation gigantesque dont nous ne saurons jamais les résultats, du moins pendant notre vie. Quels sont les dangers des produits chimiques que nous mangeons ? Est-ce qu’ils provoquent le cancer ? Des malformations congénitales ? Des mutations ? Des dommages au cerveau, au cœur et de nombreuses autres maladies ? Nous n’en savons rien. […] Il est possible que nous soyons en train de semer les graines d’une épidémie de cancers qui se développera dans les années 1980 et 199015 . » Après avoir lu ce livre très démoralisant, j’ai pris contact avec la Food and Drug Administration à Washington. Le moment semblait propice, car le président Obama venait de confier, en mars 2009, la direction de l’agence à Margaret Hamburg, un médecin réputé pour son engagement dans la santé communautaire, domaine peu investi par l’industrie… Connaissant la procédure pour l’avoir utilisée lors de mon enquête sur Monsanto, je me suis adressée au service de presse et je suis tombée sur Mike Herndon, le fonctionnaire qui, après moult tergiversations, avait fini par me donner l’adresse électronique d’un personnage clé : James Maryanski, l’ancien directeur du département des biotechnologies de la FDA. Tout indique que Mike Herndon avait eu vent de mon film Le Monde selon Monsanto, où Maryanski faisait quelques révélations fracassantes sur les liens entre l’agence et la firme de Saint Louis, car il m’a gentiment envoyé promener ! Il m’a fallu écrire à Joshua Sharfstein, le bras droit de Margaret Hamburg, qui – preuve d’un changement Outre-Atlantique – m’a rapidement débloqué la situation. Voilà comment le pauvre Mike Herndon s’est retrouvé contraint de m’organiser un rendez-vous avec un certain David Hattan, le toxicologue en charge des additifs alimentaires à l’agence ! Quand, le 19 octobre 2009, je suis entrée dans le bureau du senior toxicologist, j’ai cru halluciner : c’était l’homme qui siégeait à gauche du commissioner Frank Young lors de la fameuse audition sénatoriale du 3 novembre 1987. Inutile de préciser que Young avait alors défendu mordicus l’homologation de l’aspartame, sous le regard approbateur de Hattan. Je vous ai vu sur les archives de C-Span, lui ai-je dit, un rien amusée. – Oui… – Il y avait aussi votre collègue, Jacqueline Verrett, qui a écrit ce livre Eating May be Hazardous for your Health. Vous l’avez lu ?, ai-je demandé, en tendant l’ouvrage à mon interlocuteur, passablement crispé. – Non… a-t-il murmuré. – Je vous prie de l’ouvrir à la page 96. J’aimerais avoir votre commentaire, car vous travaillez ici depuis très longtemps. Le docteur Verrett écrit : “Ce n’est pas que les décideurs gouvernementaux soient corrompus…” C’est une bonne nouvelle, n’est-ce pas ?, m’interrompis-je, en scrutant la réaction de David Hattan, qui opina du chef, avec un sourire figé. Puis, je repris ma lecture : “…mais leur sens du devoir est constamment érodé par leurs contacts avec l’industrie et leur souci pour les effets à court terme sur l’industrie plutôt que pour les effets à long terme sur les consommateurs.” Partagez-vous ce constat ? – Non, je ne suis pas du tout d’accord, me répondit le toxicologue. Je pense qu’aucun d’entre nous à la FDA estimerait faire son travail correctement s’il ne plaçait pas la sécurité du consommateur au-dessus de toute considération pour le bien-être de l’industrie. Cela reviendrait à subvertir le paradigme de l’évaluation de la sécurité. Vraiment, je ne suis pas du tout d’accord avec le docteur Verrett… – Vous avez suivi de très près le processus d’homologation de l’aspartame, puisque vous êtes arrivé à la FDA au moment de la mise en place du Public Board of Inquiry, n’est-ce pas ? – Oui… – Le PBI, comme les autres groupes d’investigation de la FDA, s’est prononcé contre l’autorisation de l’édulcorant. Comment expliquez-vous que, quelques mois plus tard, la substance ait tout de même été autorisée, alors que l’opinion générale dans l’agence était que les études de Searle n’étaient absolument pas fiables ? – Oh ! J’aimerais que vous consultiez nos archives pour que vous voyiez tout ce que la FDA a fait pour résoudre cette controverse. Cela a coûté des millions de dollars au fabricant, Searle… Nous ne défendons pas tout ce qui a été fait, ces études présentaient certes quelques erreurs et raccourcis… Vous savez, c’était avant l’instauration des “bonnes pratiques de laboratoire” et les exigences n’étaient pas aussi rigoureuses qu’aujourd’hui…. Mais nous pensons qu’aucun des problèmes rencontrés n’était suffisamment sérieux pour invalider les résultats des études et le fait que la substance est sûre16 .[...] L’influence du financement de la recherche par l’industrie : le « funding effect »« L’article que nous venons de publier montre une augmentation de l’incidence des tumeurs du cerveau ainsi qu’une gravité accrue des tumeurs cérébrales dans la population américaine qui ont commencé trois ans après la mise sur le marché de l’aspartame17 . » C’était le 18 novembre 1996, lors d’une conférence de presse, organisée à Washington. Y participaient Ralph Walton, l’avocat James Turner, le sénateur Howard Metzenbaum et John Olney. Ce dernier avait épluché les données de l’Institut national du cancer concernant les tumeurs cérébrales recensées de 1970 à 1992 dans treize zones géographiques des États-Unis, qui couvraient 10 % de la population américaine. « Nos résultats montrent une première hausse ponctuelle de l’incidence au milieu des années 1970, qui peut s’expliquer par l’amélioration des techniques de diagnostic, avait commenté le neurologue, puis, une deuxième hausse très nette de 10 % en 1984, qui s’est maintenue jusqu’en 1992. » Et de conclure : « Cette étude ne permet pas d’établir si l’aspartame cause ou non des tumeurs du cerveau, mais il est urgent de répondre à cette question avec de nouvelles études expérimentales bien conçues. » La publication de John Olney avait provoqué beaucoup de remous médiatiques, au point que le célèbre magazine télévisé « 60 minutes » décida de consacrer une édition spéciale à l’aspartame. Désemparés face à la masse d’études concernant l’édulcorant, les producteurs de CBS avaient demandé à Ralph Walton de conduire une revue systématique de celles qui avaient été publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture. Une première recherche sur différentes banques de données, dont MedLine, donna 527 références, dont le psychiatre ne garda que celles qui étaient « clairement liées à la sécurité du produit pour les humains ».D’abord, me dit Ralph Walton, il faut noter que les trois études fondamentales de Searle, qui ont servi à calculer la DJA de l’aspartame, n’ont jamais été publiées ! Par ailleurs, sur les 166 études que mon équipe a finalement sélectionnées, 74 avaient été financées par l’industrie (Searle, Ajinomoto ou l’ILSI) et 92 par des organismes de recherche indépendants (des universités ou la FDA). 100 % des études financées par l’industrie concluaient que l’aspartame était sans danger. Sur les 74, plusieurs avaient été publiées plusieurs fois dans différents journaux, sous différents noms, mais c’était la même étude. Sur les 92 études indépendantes, 85 concluaient que l’édulcorant posait un ou plusieurs problèmes sanitaires. Les sept dernières avaient été conduites par la FDA et arrivaient aux mêmes conclusions que celles financées par l’industrie. – Comment expliquez-vous cet incroyable résultat ?, demandai-je. – Ah ! Vous savez l’argent est très puissant…Le phénomène que Ralph Walton a constaté d’une manière flagrante a été qualifié de « funding effect » (que l’on pourrait traduire par « effet financement »). David Michaels décrit ainsi ce mécanisme fort inquiétant : « Quand un scientifique est recruté par une firme qui a un intérêt financier dans les résultats de l’étude qu’elle soutient, la probabilité que les résultats de l’étude soient favorables à la firme augmente considérablement. » Et le nouveau patron de l’OSHA de préciser : « Le fait qu’il y ait un enjeu financier lié aux résultats change la manière dont même les scientifiques les plus respectés approchent leur recherche et interprètent les résultats des expériences18. » Le funding effect a été découvert par Paula Rochon, une gériatre de Boston, alors qu’elle comparait les tests cliniques de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens, comme l’aspirine, le naproxène ou l’ibuprofène (Advil), utilisés pour traiter l’arthrite. Elle montra que les tests payés par l’industrie présentaient toujours des conclusions favorables, même si un examen attentif des données ne le confirmait pas19. Quatre ans plus tard, l’équipe du Canadien Henry Thomas Stelfox (université de Toronto) faisait le même constat pour les antagonistes du calcium, des médicaments prescrits pour soigner l’hypertension et suspectés de provoquer des infarctus. Les chercheurs ont examiné les articles publiés entre mars 1995 et septembre 1996 et classé leurs auteurs en trois catégories caractérisant leur position par rapport aux molécules : « favorable », « neutre » et « critique ». Résultat : 96 % des scientifiques « favorables » avaient un lien financier avec les fabricants d’antagonistes du calcium, contre 60 % des auteurs « neutres » et 37 % des critiques20 . Depuis, le phénomène a aussi été détecté pour les anticontraceptifs oraux, les médicaments pour le traitement de la schizophrénie, de la maladie d’Alzheimer ou du cancer21 . J’ai épluché attentivement la liste des soixante-quatorze études financées par les fabricants d’aspartame que Ralph Walton a établie, et l’une d’entre elles a attiré mon attention, car elle illustre bien le phénomène des « boîtes noires » que décrit Bruno Latour dans son livre La Science en action. En effet, pour qu’un énoncé scientifique devienne un fait établi, dont plus personne n’est en mesure de reconstituer la genèse, il faut que celui-ci soit largement cité dans de multiples articles scientifiques. « Un énoncé a valeur de fait ou de fiction non par lui-même, mais seulement parce que les autres énoncés font de lui plus tard, explique le philosophe. Pour survivre, ou pour acquérir le statut de fait, un énoncé a besoin de la génération suivante d’articles22 . » Voilà pourquoi Searle et consorts ont fait publier plusieurs dizaines d’« études », qui n’ont jamais traité les questions essentielles, mais dont le but était d’occuper le terrain de la littérature scientifique : une étude publiée est une étude qui peut être citée et donc contribuer à transformer une « fiction » en « fait » et c’est encore plus efficace si on parvient parallèlement à bloquer la production d’études indépendantes sur les questions essentielles justement, une tâche dont l’ILSI s’est parfaitement acquitté. Nous avons vu dans quelles conditions douteuses la DJA de l’aspartame avait été fixée en 1981. Dix ans plus tard, Searle demande à deux de ses scientifiques, Harriett Butchko et Krank Kotsonis, de publier un article sur le concept de la DJA, « en prenant comme exemple l’aspartame, un additif alimentaire largement utilisé », ainsi que le dit le préambule23 . C’est astucieux, car cela permet de poser d’emblée comme une « boîte noire » la DJA de l’aspartame, alors que quatre ans après l’audience sénatoriale, celle-ci est loin de faire l’unanimité : « L’OMS et les autorités réglementaires d’Europe et du Canada ont fixé une DJA de 40 mg/kg et la FDA de 50 mg/kg », écrivent ainsi les auteurs, qui truffent ensuite leur papier de multiples références (cinquante), principalement aux études financées par Searle (mais la source du financement n’est pas précisée), dont celles conduites par Jack Filer (neuf références), qui, on l’a vu, deviendra le directeur de l’ILSI ! Qui va vérifier que ces études, dont les auteurs prétendent qu’elles ont servi à fixer la DJA, sont toutes postérieures à 1979 ? Ou qu’une étude de l’incontournable Filer, censée confirmer l’innocuité de l’aspartame a duré… six heures, pendant lesquelles huit « adultes normaux » (quatre hommes et quatre femmes) ont ingéré 10 mg d’aspartame toutes les deux heures24 ? « Le problème, a commenté Ralph Walton, c’est que toutes ces études de faible qualité, voire biaisées, sont publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture. On attend toujours la “réforme radicale” que Richard Smith a appelée de ses vœux. » Directeur du prestigieux British Journal of Medicine, l’homme avait fait sensation en avouant publiquement les limites et faiblesses du système du peer review (voir supra, chapitre 9), pourtant considéré comme le must en matière de publication scientifique. « Nous savons qu’il est coûteux, lent, enclin aux biais, ouvert aux abus, voire défavorable à la véritable innovation et incapable de détecter la fraude, écrivait-il. Nous savons aussi que les articles publiés qui émergent du processus sont souvent grossièrement déficients25 . » Dans cet éditorial, qui fit grincer bien des dents (industrielles), Richard Smith racontait l’expérience menée par Fioda Godlee et deux collègues du journal : ils avaient pris une étude qui allait être publiée, dans laquelle ils avaient inséré volontairement huit erreurs. Puis ils avaient envoyé le texte à 420 relecteurs potentiels, dont 221 (53 %) ont répondu : le nombre moyen d’erreurs relevées était de deux, pas un seul relecteur n’a relevé plus de cinq erreurs et 16 % n’y ont vu que du feu… L’Institut Ramazzini, « maison de ceux qui ont consacré leur vie à la recherche de la vérité »« Cela fait vingt ans que je bataille pour que le National Toxicology Program (NTP) conduise une étude sur l’aspartame, m’a expliqué en 2009 James Huff, le directeur adjoint du département de la cancérogenèse chimique au National Institute of Environmental Health Sciences (NIEHS), qui dirigea le programme des monographies du CIRC [voir supra, chapitre 10]. Malheureusement, la FDA s’y est toujours opposée, en faisant jouer son droit de veto26 . – Comment l’expliquez-vous ? – Je pense que l’agence craignait que nous prouvions que l’édulcorant est cancérigène27 », m’a répondu le scientifique en me renvoyant à un article de novembre 1996, qui faisait suite à la publication de l’étude de John Olney sur l’augmentation des tumeurs cérébrales. Y témoignait James Huff, ainsi que David Rall, l’ancien directeur du NIEHS, qui supervisa le NTP pendant dix-neuf ans (jusqu’à son départ à la retraite en 1990) : « C’est une manière efficace d’assurer que l’aspartame ne sera pas testé, déclarait ce dernier. On empêche les chercheurs de le tester, puis on dit qu’il est sûr28 . » « J’ai lu, pourtant, que le NTP avait publié les résultats d’une étude sur l’aspartame en 200529 , ai-je poursuivi. – C’est vrai, a reconnu James Huff, mais j’étais opposé à cette étude ainsi que plusieurs collègues du NIEHS. Elle a été menée sur des souris transgéniques à qui on a inséré un gène qui les rend plus susceptibles au cancer. C’est un nouveau modèle expérimental qui ne présente aucun intérêt pour les produits chimiques non génotoxiques. Or, l’aspartame n’est pas génotoxique, c’est-à-dire qu’il ne produit pas de mutations30 . Le résultat de cette étude, qui a coûté beaucoup d’argent pour rien, fut bien sûr négatif et elle a fait le bonheur de l’industrie31 … J’étais écœuré, c’est pourquoi j’ai participé activement à la conception des études conduites par l’Institut Ramazzini qui, elles, ont confirmé les pouvoirs cancérigènes de l’aspartame. Ce sont pour moi les meilleures études jamais réalisées sur cette substance. » Créé en 1987, en hommage au « père de la médecine du travail » (voir supra, chapitre 7), l’Institut Ramazzini est l’œuvre du cancérologue italien Cesare Maltoni, dont les travaux sur le chlorure de vinyle avaient semé la panique chez les fabricants de plastique européens et américains (voir supra, chapitre 11). Installé dans le magnifique château renaissance de Bentivoglio, à une trentaine de kilomètres de Bologne, le centre de cancérologie environnementale définit ses programmes de recherche en collaboration avec le Collège Ramazzini, qui compte cent quatre-vingts scientifiques issus de trente-deux pays. Parmi eux, quelques-uns des scientifiques que nous avons croisés dans ce livre, comme James Huff, Devra Davis, Peter Infante, Vincent Cogliano, Aaron Blair ou Lennart Hardell, Une fois par an, cette assemblée exceptionnelle se réunit à Carpi, le « lieu de naissance du maître » Bernardo Ramazzini. Dans un article publié en 2000, qui constitue une véritable profession de foi, mais aussi son testament, Cesare Maltoni (décédé en 2001) a décrit ce qui fait l’originalité de ce collège académique à nul autre pareil. « Notre époque est caractérisée par l’énorme expansion et la suprématie de l’industrie et du commerce, au détriment de la culture (dont fait partie la science) et de l’humanisme, écrit-il. L’objectif premier et bien souvent unique de l’industrie et du commerce est le profit. La stratégie de l’industrie et du commerce pour atteindre leurs objectifs – dussent-ils entrer en conflit avec la culture et l’humanisme – a été marquée par la création d’une culture alternative pseudoscientifique, dont le but principal est de polluer délibérément la vérité, en opposant la culture et la science et en étouffant la voix des humanistes32 . » C’est pourquoi, poursuit Cesare Maltoni, la raison d’être33 du Collège Ramazzini, c’est d’« être la maison de ceux qui ont consacré leur vie à la recherche de la vérité et d’être solidaire avec ceux qui sont attaqués et humiliés parce qu’ils poursuivent la vérité ». Depuis sa création, l’Institut a testé quelque deux cents polluants chimiques, comme le benzène, le chlorure de vinyle, le formaldéhyde et de nombreux pesticides.Ses études ont souvent contribué à une baisse des normes d’exposition en vigueur, car leurs résultats sont inattaquables. D’abord, contrairement à la grande majorité des études industrielles, celles de l’Institut sont conduites sur des méga-cohortes, comprenant plusieurs milliers de cobayes, ce qui bien sûr renforce leur pouvoir statistique34 . Lors de ma visite, le 2 février 2010, j’avais été impressionnée par l’étendue du laboratoire, qui couvre 10 000 mètres carrés. D’énormes installations circulaires abritaient alors 9 000 rats soumis à différents niveaux d’ondes électromagnétiques pour une expérience que le docteur Morando Soffritti, qui a succédé à Cesare Maltoni, m’avait présentée comme « top secret », avec un large sourire entendu. « La deuxième caractéristique de notre Institut, m’avait-il expliqué, c’est que, contrairement aux recommandations du guide des “bonnes pratiques de laboratoire”, nos études expérimentales ne durent pas deux ans, mais nous laissons vivre nos animaux jusqu’à leur mort naturelle. En effet, 80 % des tumeurs malignes détectées chez les humains le sont après l’âge de 60-65 ans. Il est donc aberrant de sacrifier les animaux expérimentaux à la cent quatrième semaine, ce qui, rapporté à l’espèce humaine, correspond à l’âge de la retraite où la fréquence d’apparition des cancers ou des maladies neurodégénératives est la plus élevée35 . » « C’est la principale force des études de l’Institut Ramazzini, m’a confirmé James Huff. Quand on interrompt arbitrairement une étude au bout de deux ans, on risque de passer à côté des effets cancérigènes d’une substance. Et plusieurs exemples le prouvent. Le cadmium est un métal largement utilisé, notamment pour la fabrication de PVC ou d’engrais chimiques, qui a été classé dans le groupe 1 (« cancérigène pour les humains ») par le CIRC. Pourtant, les études expérimentales de deux ans ne montraient aucun effet. Jusqu’au jour où un chercheur a décidé de laisser mourir les rats naturellement : il a constaté que 75 % développaient un cancer du poumon dans le dernier quart de leur vie. De même, le NTP a étudié le toluène et n’a trouvé aucun effet au bout de vingt-quatre mois. En revanche, l’Institut Ramazzini a vu plusieurs cancers apparaître à partir du vingt-huitième mois. Le protocole des études de l’Institut Ramazzini devrait être repris par tous les chercheurs, car l’enjeu est important : on se glorifie toujours de l’allongement de l’espérance de vie, mais à quoi bon vivre dix ou quinze ans plus vieux, si c’est pour vivre sa retraite, accablé par toutes sortes de maladies qui seraient évitables si on contrôlait mieux l’exposition aux produits chimiques ? C’est pourquoi les deux études de l’Institut Ramazzini sur l’aspartame sont très inquiétantes… » « L’aspartame est un agent cancérigène multisite puissant »Plus inquiétant encore est le rejet de ces deux études par l’EFSA et la FDA et, dans la foulée, par toutes les agences réglementaires nationales (dont, bien sûr, l’ANSES française). Et je dois dire que j’ai beau tourner leurs arguments dans tous les sens, ils ne parviennent pas à me convaincre…Publiée en 2006, la première étude portait sur 1 800 rats, qui ont ingéré des doses journalières d’aspartame comprises entre 20 mg/kg et 100 mg/kg, depuis l’âge de huit semaines jusqu’à leur mort naturelle. Résultat : une augmentation significative, corrélée à la dose, des lymphomes, leucémies et tumeurs rénales chez les femelles, et des schwannomes (tumeurs des nerfs crâniens) chez les mâles. « Si nous avions tronqué l’expérience en l’arrêtant à deux ans, nous n’aurions sans doute pas pu montrer le potentiel cancérigène de l’aspartame, écrivent les auteurs dans leur publication. Les résultats de cette méga-étude indiquent que l’aspartame est un agent cancérigène multisite puissant, y compris à la dose journalière de 20 mg/kg, qui est bien inférieure à la DJA36 . » Curieusement, alors qu’elle se contente en général fort bien des résumés de données que lui envoient les fabricants, la FDA a, dans ce cas précis, beaucoup insisté pour obtenir l’ensemble des données brutes de l’étude. C’est en tout cas l’argument officiel qu’elle n’a cessé de brandir, à l’instar de David Hattan qui me l’a resservi sans sourciller : « Nous n’avons pu examiner qu’une petite partie des données brutes, m’a-t-il expliqué avec une moue navrée, et il nous a semblé que les changements observés étaient sporadiques et somme toute habituels dans ce genre d’expérimentation. Malheureusement, nous n’avons pas pu obtenir toutes les données, car l’Institut Ramazzini nous a dit que le règlement interne lui interdisait de les partager avec des tierces parties. » « Pourquoi avez-vous refusé de communiquer les données brutes de l’étude ?, ai-je demandé à Morando Soffritti, le directeur scientifique de l’Institut Ramazzini. – Je suis surpris que la FDA ait pu vous dire cela, m’a-t-il répondu, avec son indéfectible sourire en coin. Nous sommes entrés en contact avec la FDA dès 2005 et nous lui avons envoyé toutes les données en notre possession. » Dans l’avis qu’elle a publié, le 20 avril 2007, l’agence américaine affirme, en tout cas, que « les données de l’étude ne permettent pas de conclure que l’aspartame est cancérigène37 ». Un an plus tôt, l’EFSA avait rendu un avis similaire, après une longue introduction où elle ne manquait pas de s’appuyer sur la « boîte noire » si laborieusement construite : « L’aspartame a notamment été l’objet de quatre études de cancérogénicité conduites sur des animaux pendant les années 1970 et au tout début des années 1980. Ces études, avec d’autres sur la génotoxicité, ont été évaluées par les agences réglementaires du monde et toutes ont conclu que l’aspartame n’avait pas de potentiel génotoxique ou cancérigène38 . » Puis, l’Autorité européenne en vient à l’étude de l’Institut Ramazzini, qui comprend des « déficiences remettant en question la validité des résultats. […] L’explication la plus plausible des résultats de l’étude concernant les lymphomes et leucémies, c’est que ceux-ci sont dus à une maladie respiratoire chronique dont souffrait la colonie. […] En résumé, il n’y a pas de raisons de revoir la DJA de 40 mg/kg établie précédemment. » « Pourquoi avez-vous rejeté cette étude ?, ai-je insisté auprès d’Hugues Kenigswald, le chef de l’Unité des additifs alimentaires de l’EFSA (que nous avons déjà rencontré au cours du chapitre 14). – Alors, d’abord que ce soit bien clair : cette étude n’a absolument pas été rejetée, au contraire, elle a été étudiée (sic) avec le plus grand soin. Par contre, ce qui est très clair, c’est qu’il y a un certain nombre, pour ne pas dire un nombre certain, d’insuffisances méthodologiques qui ont été relevées dans cette étude… – Par exemple ? – En particulier, le fait que certains rats présentaient des pathologies respiratoires… – Quel est le rapport entre le fait d’avoir une maladie respiratoire et un lymphome ou une leucémie ? – La maladie respiratoire fait que ça provoque… est à l’origine de tumeurs et peut donc complètement brouiller les pistes ; c’est exactement ce qui s’est passé dans cette étude. » L’argument de l’EFSA a (de nouveau) fait sourire Morando Soffritti qui, bien calé dans son fauteuil, a répliqué : « Nous ne sommes pas d’accord, pour une série de raisons. Premièrement, parce que les processus inflammatoires que nous observons dans nos animaux dépendent très souvent du fait que nous les laissons mourir naturellement sans interrompre leur vie de façon arbitraire. Et comme il arrive pour l’homme, dans la dernière phase de la vie, les complications pulmonaires et rénales sont très courantes. De plus, il n’a jamais été démontré que les infections pulmonaires ou rénales, qui apparaissent en fin de vie, soient capables de produire des tumeurs en si peu de temps. – Est-ce que les rats du groupe contrôle avaient le même problème inflammatoire ? – Bien sûr, nous l’avons observé à la fois dans les groupes traités et dans le groupe contrôle. La seule différence entre les deux groupes était que les groupes expérimentaux avaient ingéré de l’aspartame et que le groupe contrôle n’en avait pas ingéré. » En 2007, l’équipe du docteur Soffritti a publié une seconde étude, encore plus inquiétante que la première. Cette fois-ci, quatre cents rates en gestation ont été exposées à des doses journalières d’aspartame de 20 mg/kg et de 100 mg/kg et leurs descendants ont été suivis jusqu’à leur mort. « Nous avons constaté que quand l’exposition commence pendant la vie fœtale, le risque d’avoir les tumeurs observées lors de la première étude augmente de manière très significative, a commenté Morando Soffritti. S’y ajoute l’apparition de tumeurs mammaires chez les descendantes femelles. Nous estimons que ces résultats devraient conduire les agences réglementaires à agir au plus vite, car les femmes enceintes et les enfants sont les plus grands consommateurs d’aspartame. » Dans leur publication, Morando Soffritti et ses collègues soulignent que, « à leur demande, nous avons fourni aux agences réglementaires toutes les données brutes de l’étude39 ». Pourtant, David Hattan m’a soutenu le contraire : « Nous n’avons pas examiné la seconde étude de l’Institut Ramazzini, car malheureusement nous n’avons pas pu trouver un accord pour obtenir les données brutes », a affirmé le toxicologue de la FDA. « Ce n’est pas vrai, a rétorqué le docteur Morando Soffritti., depuis son laboratoire de Bentivoglio. – Vous prétendez que David Hattan ment ?, ai-je insisté. – On peut dire qu’il ment. » Dans l’avis qu’elle a rendu le 19 mars 2009, l’EFSA souligne aussi que « les données brutes de l’étude n’ont pas été fournies par les auteurs », ce que dément avec vigueur le directeur de l’Institut Ramazzini. Puis, l’Autorité européenne écarte de nouveau les leucémies et lymphomes constatés, qu’elle s’entête à considérer comme « caractéristiques d’une maladie respiratoire chronique » (décidément !), avant de se lancer dans une explication qui a carrément fait bondir les Américains James Huff et Peter Infante tant elle leur semblait « scabreuse et peu scientifique » : « L’augmentation de l’incidence des carcinomes mammaires n’est pas considérée comme étant indicative d’un potentiel cancérogène de l’aspartame, car l’incidence des tumeurs mammaires chez les rats femelles est relativement élevée et varie considérablement d’une étude de carcinogénicité à l’autre, écrivent les experts de l’EFSA. Le groupe scientifique a constaté qu’aucune augmentation de l’incidence des carcinomes mammaires n’a été signalée dans la précédente étude menée sur l’aspartame, dans laquelle des doses du produit beaucoup plus élevées ont été utilisées40 . » « C’est incroyable que des experts puissent écrire cela, s’est étonné James Huff. On dirait qu’ils n’ont pas compris que l’originalité de l’étude, c’est de commencer l’exposition in utero. Ce qui est inquiétant, c’est précisément que les descendantes ont développé des tumeurs mammaires que les rates adultes n’avaient pas développées dans la première étude. On observe exactement le même phénomène avec les perturbateurs endocriniens : ce sont les filles exposées pendant la vie fœtale qui ont des cancers mammaires, mais pas leurs mères ! » De fait, l’argument de l’EFSA a de quoi surprendre, mais c’est pourtant le seul qu’a évoqué Hugues Kenigswald pour justifier la décision d’ignorer les résultats de l’étude italienne : « Les tumeurs mammaires qui sont décrites dans la deuxième étude n’apparaissaient pas dans la première étude, m’a-t-il expliqué, en jetant des regards vers les deux fonctionnaires européens assis dans mon dos. Donc, les résultats des deux études sont incohérents. » « Comment expliquez-vous cet argument de l’EFSA ? », ai-je demandé à Morando Soffritti, qui, manifestement, a cherché ses mots avant de me répondre : « Les évaluations faites par les experts des différentes agences sont souvent hâtives et pas toujours réfléchies, a-t-il lâché. S’ils avaient pris le temps de mesurer ce que peut impliquer une exposition commencée pendant la vie fœtale, peut-être n’auraient-ils pas émis un jugement aussi trivial d’un point de vue scientifique… » En attendant, la décision européenne a fait le bonheur de l’Association internationale des édulcorants (ISA) qui, dans un communiqué d’avril 2009, s’est « félicitée de l’avis scientifique publié par l’EFSA qui reconfirme le précédent avis publié en mai 2006 sur la sécurité et l’innocuité de l’édulcorant aspartame, rejetant les affirmations de l’institut Ramazzini, en Italie, selon lesquelles l’aspartame serait dangereux pour la santé. Ces conclusions de l’EFSA sont entièrement compatibles avec le consensus scientifique mondial, etc.41 ». Conflits d’intérêts et boîte de PandoreJe l’ai déjà dit et je le répète : les arguments avancés par l’EFSA et la FDA ne sont absolument pas convaincants. Comment comprendre que ces agences décident d’ignorer deux études conduites par un institut considéré comme un poids lourd dans le domaine de la cancérologie environnementale, alors qu’elles continuent de défendre bec et ongles la DJA de l’aspartame, fondée sur des études qui, pour le moins, présentent les pires « insuffisances méthodologiques », pour reprendre les termes d’Hugues Kenigswald ? Intriguée, j’ai décidé de savoir qui étaient les vingt et un experts qui constituent le « groupe ANS » de l’EFSA, le « groupe scientifique sur les additifs alimentaires et les sources de nutriments ajoutés aux aliments ». Depuis 2002, les experts de l’Autorité européenne, qui à la différence de ceux du JMPR ou du JECFA sont permanents, sont tenus de déclarer leurs conflits d’intérêts et les déclarations sont consultables sur le site de l’EFSA. J’ai ainsi découvert que John Christian Larsen, le président du groupe, travaille pour… l’ILSI ! Même chose pour John Gilbert et Ivonne Rietjens, qui a aussi des liens financiers avec la FEMA (Flavor and Extract Manufacturers Association). Quant à Jürgen König, il a des contrats avec Danone, grand utilisateur d’aspartame. Mais la « palme », si j’ose dire, revient à Dominique Parent-Massin, qui est membre du comité scientifique d’Ajinomoto, le géant japonais de l’aspartame, et de Coca-Cola, un utilisateur historique de l’édulcorant et membre fondateur de l’ILSI ! Directrice du Laboratoire de toxicologie alimentaire de l’université de Brest, l’experte a même présidé le groupe additifs alimentaires de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa, rebaptisée Anses en 2010) ! Avec France Bellisle, une chercheuse de l’Institut national de recherche agronomique (INRA), qui siège au comité scientifique du Conseil européen de l’information sur l’alimentation (EUFIC), financé par les géants de l’agroalimentaire, et Bernard Guy-Grand, professeur de nutrition à l’Hôtel-Dieu, qui fut président du comité scientifique d’Ajinomoto, Dominique Parent-Massin fait partie de la dream team française du fabricant japonais, même si elle se garde bien de le dire quand elle intervient sous l’étiquette « autorités sanitaires » dans les congrès pour défendre l’innocuité de l’aspartame42 . Ainsi, lors des Entretiens de Bichat de 2006, elle a répété la bonne vieille antienne : « L’aspartame est l’un des additifs les plus étudiés au monde43 . » J’ai évidemment interrogé Catherine Geslain-Lanéelle, la directrice exécutive de l’EFSA, sur les conflits d’intérêts patents qui caractérisent certains membres du « groupe ANS », avec en tête Dominique Parent-Massin. Pour être franche, j’avais quelque curiosité à rencontrer cette ancienne haute fonctionnaire très zélée de la Direction générale de l’alimentation, qui, on l’a vu dans le chapitre 6, avait refusé de communiquer le dossier d’autorisation de mise sur le marché du Gaucho au juge Louis Ripoll, alors qu’il perquisitionnait au siège de la DGAL, dans le cadre d’une instruction sur la toxicité de l’insecticide pour les abeilles. D’apparence très cordiale, la directrice exécutive m’a d’abord expliqué que l’EFSA avait commencé en 2008 la « réévaluation des colorants » et décidé récemment d’interdire un « colorant utilisé depuis trente ans en Europe dans les produits de petit-déjeuner et des saucisses consommées en Grande-Bretagne et en Irlande ». « Un examen des études a montré qu’il était génotoxique, m’a-t-elle précisé, donc nous l’avons retiré du marché, comme nous l’avions fait précédemment pour certains arômes de synthèse. – C’est certes une bonne nouvelle, dis-je. Concernant l’aspartame, je suis surprise de voir qu’une personne comme Dominique Parent-Massin, dont les liens avec le principal fabricant d’aspartame sont avérés, siège dans le groupe sur les additifs alimentaires… – Cela veut dire que, quand nous faisons l’évaluation de l’aspartame, cette experte ne peut pas être rapporteur, ne peut pas préparer l’avis du groupe et ne peut pas participer aux délibérations sur ce sujet, parce qu’elle a un conflit d’intérêts. – Par exemple, dans le cas de l’avis qui a été rendu sur l’aspartame en mars 2009, Dominique Parent-Massin n’a pas participé ? – Non… C’est important de comprendre qu’aujourd’hui la recherche publique est souvent associée à la recherche privée et, donc, qu’il est impossible de trouver des experts qui n’ont jamais eu de contact avec l’industrie, je pense que cela n’existe plus, a reconnu Catherine Geslain-Lanéelle. C’est pourquoi nous avons établi une règle qui veut que les scientifiques ayant travaillé ou travaillant directement pour le fabricant du produit évalué sont disqualifiés pour participer aux travaux d’évaluation, et c’est ce qui s’est passé avec Dominique Parent-Massin44 . » La transparence, en tout cas, a ses limites. La déclaration de conflits d’intérêts de Dominique Parent-Massin que j’avais trouvée sur le site de l’EFSA avant ma visite à Parme a disparu quelques jours plus tard ! Elle a été remplacée par une nouvelle, où l’experte ne dit plus un mot sur ses liens avec Ajinomoto et Coca-Cola… L’anecdote a fait (encore) sourire Morando Soffritti, qui en avait aussi une à me raconter : « Un haut dirigeant de EFSA m’a dit un jour : “Docteur Soffritti, si nous admettions que les résultats de vos études sont valides, nous devrions interdire l’aspartame dès demain matin. Vous vous rendez bien compte que cela n’est pas possible”… » Tout indique, en effet, que par-delà les enjeux économiques, l’aspartame est devenu une forteresse inexpugnable, ainsi que le souligne Erik Millstone, l’indéfectible poil à gratter des agences réglementaires : « Si elles admettent qu’elles ont fait une erreur, cela entraînera une perte de confiance. Et puis, elles craignent sans doute que cela ouvre les vannes, m’a-t-il expliqué avec un ton franchement accusateur. Il y a des gens qui risquent de dire : peut-être n’avez-vous pas fait une seule, mais plusieurs erreurs ; et peut-être que tout le processus est défectueux ! L’aspartame est une boîte de Pandore : si elle s’ouvre, c’est tout le système qui risque d’exploser. C’est aussi vrai pour le bisphénol A, un autre produit symbolique de l’inefficacité de la réglementation telle qu’elle fonctionne depuis un demi-siècle »… >> Cet extrait n’est pas en Creative Commons >> Illustrations CC pour Elsa Secco et FlickR Phranet, same_same, niallkennedy – Retrouvez notre dossier sur l’enquête de Marie-Monique Robin :“Notre poison quotidien”: un docu difficile à digérer Des alternatives aux pesticides Et notre illustration de Une de Elsa Secco en CC (utilisation de l’image de Dave – aka Emptybelly en CC )
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Laurent LOUIS s’oppose à la guerre au Mali et dénonce la manipulation internationale
!!!!David Icke
http://www.davidicke.com/Les chemtrails ne sont pas un phénomène naturel mais c’est pourtant une triste réalité Un petit tour sur le blog laissé au point mort depuis des mois. Voici quelques videos sur le phénomène Chemtrails. Observez, levez la tête et interogez-vous. Nous devons obtenir des réponses à la question “pourquoi ? La source: http://lenvolduphenix.over-blog.com/categorie-715682.html Preuve de baryum dans les chemtrails http://www.dailymotion.com/video/x51ng7_pr…-chemtrail_tech chemtrails France-Lyon hallucinant!!!!! http://www.youtube.com/watch?v=cBSxgtPN … re=related Contrails & Chemtrails http://www.youtube.com/watch?v=X6Wmo9n7N4s chemtrails french http://www.youtube.com/watch?v=Xt5qCYrsA-s
Chemtrails en France Pour ceux et celles qui veulent comprendre ce qui se passe au-dessus de leur tête voici un rapport qui apporte une grande partie des réponses (malheureusement en anglais…) La source: http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=3719.750 Morgellons Chemtrails Wahrheitsbewegung de nano nwo truth http://www.youtube.com/watch?v=SqxyaWct … r_embedded Allonzier Frankreich Chemtrail 07.08.2009 http://www.youtube.com/watch?v=nEfdUP64k58 Chemtrails 2011 over Europe http://www.youtube.com/watch?v=ODOU_rno … re=related Chemtrails, Vienna, Austria http://www.youtube.com/watch?v=E15C9ep1pIE CHEMTRAILS – Kantons Zürich, Schweiz http://www.youtube.com/watch?v=sQSS4nHc … re=related Chemtrails Over Boston 052609 HD http://www.youtube.com/watch?v=teHYyaDQpmE Stop Chemtrails Flyby Operations – Zarcon & Hyplexx Preview http://www.youtube.com/watch?v=jcTRfz0x … re=related MORGELLONS MORPHOLOGY (2006 – Revised 2010) When all kinds of worldwide specimens were examined under the microscope, various body structures were visible, such as single black, glassy or colored tubuli or fibers or accumulation of various fibrils, which were even able to group together and form into a homogeneous structure or corpus (synnemata) to create fruiting bodies. Also present were the liquid or semi-liquid protoplasm, spores and individual cysts or bubbles, sporangia, snail, slugs or worm and insect-like structures.. La source: http://www.morgellons-research.org/morg … hology.htm MORGELLONS SYMPTOMS (2006) SKIN SYMPTOMS: In regard to the symptoms, in the initial stage one may experience increased crawling sensation, mostly around the scalp, nose and mouth. This is individual and is caused from fibers or spores that are growing out of skin pores. After a certain time large skin areas are covered with a biofilm of spores and protoplasm. In the second stage is noticed, a biting and stinging sensation which is later followed by an itching. This is caused, particullary on sweatty skin areas, from the biofilm entering the enlarged pores. Sufferers report subjectively the feeling of glass fibre similar to asbestos which causes them to have an intolerable itching sensation. La source: [url=”http://www.morgellons-research.org/morgellons/morgellons_symptoms.htm”]http://www.morgellons-research.org/morgell…ns_symptoms.htm[/url] WILL BE UPDATED/REVISED NEXT Chronologic process of an epidermal Morgellons infection caused by spores, protoplasm and exo-enzymes La source: http://www.morgellons-research.org/morg … ection.htm https://lh4.googleusercontent.com/-Nwbv … 9876-2.jpg https://lh3.googleusercontent.com/-3vap … mtrail.gif CHEMTRAiLS/ MORGELLONS KiLLS!!!!!!! MUST SEE!!!!!!! 100% TV MEDiA PROOF http://www.youtube.com/watch?v=dyjrzgHs … r_embedded Chemtrails und HAARP === http://www.youtube.com/watch?v=BJm95Zib … re=related [quote](!) LES FAITS: Lundi 20 juin 2011 Chemtrails : Pourquoi, Qui, Comment, A Quelles Fins ? 1/2 Interview audio de Mel Fabregas, conduite en septembre 2009. Seule la partie sur les chemtrails est traduite. Les questions sont en italique turquoise. Les propos de l’interview apportent des explications supplémentaires. L’interviewé parle ouvertement et ne se cache pas derrière l’anonymat. Pendant des années A Griffith a enquêté et s’est trouvé au cœur même du système derrière les épandages. Il a étudié les rapports sur la qualité de l’air, rapports qui montrent des niveaux à des centaines de fois supérieurs à ce qui est accepté par les organismes de contrôle. Il a questionné les organisations gouvernementales, la réponse étant toujours la même : ”Nous ne faisons pas d’épandages et ce que vous voyez dans le ciel sont des contrails.. La source: http://actu-chemtrails.over-blog.com/article-chemtrails-pourquoi-qui-comment-a-quelles-fins-1-2-77310957.html A.C. Griffin talks about Chemtrails This is most of the transcript from the May 14, 2007 program, ‘The Power Hour’ and I’m posting it because it has some interesting information even though I question some it (i.e. he blames the Russians & praises Israel). So read it with discernment as we continue to uncover the truth. La source: http://sonomachemtrails.blogspot.com/20 … rails.html Chemtrail Plane Up Close and Personal http://www.youtube.com/watch?v=EOJ4z8yq … r_embedded Did An Airline Mechanic Stumble Upon The Truth? La source: http://www.prisonplanet.com/Pages/Apr_0 … rails.html Aaron Russo : Interview sur des éléments troublant… et http://www.wat.tv/video/aaron-russo-int … huxt_.html Preuve de baryum dans les chemtrails http://www.dailymotion.com/video/x51ng7 … trail_tech Elenin, Chemtrails, HAARP & Planetary Genocide – Allan Buckman 2-3 http://www.youtube.com/watch?v=9e15ZLkrn5s Der Ex-IRS Agent und der Chemtrails Genozid http://www.youtube.com/watch?v=Q0gSeJYWPMw The insider: chemtrails KC-10 sprayer air to air – The proof ==== http://www.youtube.com/watch?v=bSSWnXQs … er_embedde https://lh5.googleusercontent.com/–m4G_H26RSA/TWF3zQg-A5I/AAAAAAAAJKc/P53OkynYaBM/s720/chemboinnen-2.jpg La date de sortie du nouveau vaccin contre la pandémie de grippe A/H1N1 est prévue pour début juillet selon la société Baxter, un journaliste d’investigation d’origine autrichienne averti par contre le monde que le plus grand crime de l’histoire de l’humanité est en cours. Jane Burgermeister a récemment déposé plaintes auprès du FBI en accusant l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’Organisation des Nations Unies (ONU), et plusieurs des plus hauts fonctionnaires du gouvernement et des entreprises concernant le bioterrorisme visant à commettre un meurtre de masse. Elle a également préparé une injonction contre la vaccination, qui est forcé d’être déposée en Amérique ou en France notamment. Ces actions suivent ses accusations déposées en avril contre la société Baxter AG et AVIR Green Hills Biotechnologie basé en Autriche pour la production du vaccin contre la grippe des oiseaux contaminés, qui a été délibéré provoquer afin de profiter d’une pandémie et de s’en mettre pleins les poches. Dans ses accusations, Burgermeister présente des preuves d’actes de bioterrorisme, qui est en violation avec la loi américaine. Ces bio-terroristes seraient nulle autre qu’un groupe opérant dans les États-Unis sous la direction des banquiers internationaux qui contrôlent la Réserve fédérale, ainsi que l’OMS, l’ONU et l’OTAN. Le bioterrorisme réaliserait un génocide de masse contre la population américaine, par l’utilisation d’un virus génétiquement modifié causant une pandémie avec l’intention de causer la mort et de réduire la population mondiale. Ce groupe possède d’ailleurs le gouvernement des États-Unis.. http://www.lepouvoirmondial.com/archive … rails.html http://www.lepouvoirmondial.com/archive … rails.html Food The Ultimate Secret Exposed – PT 1 of 2.avi http://www.youtube.com/watch?v=JUyBz5Lq … re=related ________________________________________________
Laurent LOUIS s’oppose à la guerre au Mali et dénonce la manipulation internationale
_________________________________________________Manif pour tous : entre 45 000 et 270 000 participantsC’est bien moins que lors de la dernière organisée par le collectif le 24 mars. Une contre-manifestation a rassemblé entre 3 500 et 15 000 personnes.Une mobilisation des anti nettement en retraitComme à l’accoutumée, le collectif de la Manif pour tous et la préfecture de police sont lancés dans une bataille de chiffres. La manifestation des anti organisée à Paris entre la place Denfert-Rochereau et les Invalides a rassemblé 45 000 personnes, selon la préfecture de police de Paris. Les organisateurs revendiquent eux 270 000 participants. Quoi qu’il en soit, leur mobilisation marque nettement le pas par rapport à la manifestation du 24 mars, qui avait rassemblé 300 000 personnes selon la police, 1,4 million selon les organisateurs.Aux cris de “Hollande, ta loi, on n’en veut pas”, les manifestants se sont rangés derrière une banderole proclamant “Tous gardiens du code civil” et des élus, en particulier de l’UMP, principal parti de droite, ceints de leur écharpe tricolore. Le Front national a également envoyé une délégation dans le cortège. Le député Rassemblement bleu Marine Gilbert Collard était également présent. Les porte-parole du collectif ont pris place en tête du cortège, devant des femmes déguisées en Marianne, habillées de blanc avec bonnet phrygien et Code civil à la main, pendant que retentissaient sifflets et cornes de brume. Des drapeaux français, aux couleurs bleue et rose de La Manif pour tous, s’agitaient au-dessus de la foule, avec BB Brunes ou encore Shaka Ponk en fond sonore. “Nous ne lâcherons rien, jamais, jamais, jamais”, hurlait la sono, criant encore : “Arrêtez de vous laisser traiter de ce que vous n’êtes pas. On aime les homos !” Une Manif pour tous sous haute tensionLe risque de voir des activistes d’extrême droite, auteurs de plusieurs agressions homophobes ces dernières semaines, se mêler au cortège a incité les organisateurs à déployer eux-mêmes un service d’ordre en plus de l’important dispositif policier mis en place par le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. D’autant que des débordements et échauffourées avec la police ont émaillé les rassemblements organisés tout au long de la semaine, près de l’Assemblée nationale, où était discuté le projet de loi devant être soumis mardi à un vote solennel.La porte-parole du collectif la Manif pour tous, Frigide Barjot, a lancé un appel au calme, dimanche en fin de matinée, et averti que le service d’ordre de la manifestation – un millier de bénévoles et des agents de trois sociétés de sécurité engagés pour l’occasion – dénonceraient les éléments extrémistes. “Toute personne qui aura un comportement douteux sera signalée”, a déclaré Frigide Barjot, avertissant que les organisateurs de la Manif pour tous prendraient en photo, avec leurs téléphones portables, les fauteurs de troubles éventuels. Trois manifestants ont été interpellés sur le trajet de la Manif pour tous. Le premier, porteur de six bombes lacrymogènes, a été arrêté peu avant le départ du cortège et avait été désigné aux forces de l’ordre par le service d’ordre des organisateurs. Peu avant 16 heures, deux autres manifestants ont eux aussi été stoppés au niveau de la place Denfert-Rochereau, avec “des bombes lacrymogènes, poing américain et matraque télescopique“, a précisé une source policière. Une contre-manifestation “dénonçant l’homophobie”Quelque 3 500 personnes se sont rassemblées, selon la préfecture de police et 15 000 selon Act Up-Paris, place de la Bastille au milieu de drapeaux arc-en-ciel. Elles ont répliqué aux manifestants anti-mariage pour tous en “dénonçant l’homophobie” et en revendiquant “l’égalité des droits”. Sur l’emblématique place parisienne, interdite à la circulation, les pancartes défendent “lesbiennes, gays, bi, trans, fiers et en colère”. Une photo de l’ancienne ministre Christine Boutin, opposante virulente au projet de loi, est présentée comme “un des visages de la haine”.http://www.francetvinfo.fr/direct-mariage-pour-tous-manifestations-des-pro-et-des-anti-a-paris_308417.html#xtatc=INT-6
Les antibiotiques naturels que les compagnies pharmaceutiques tentent de vous cacher.
Le fait que la découverte de la pénicilline soit souvent considérée comme un point-charnière de notre évolution n’est guère surprenant : c’est à ce moment-là que nous avons cessé de mourir des conséquences d’une banale infection. Mais de nos jours, nous abusons clairement de ces mêmes antibiotiques. Et en conséquence, la plupart des bactéries autrefois combattues avec ces antibiotiques s’y sont adaptées, et y sont désormais insensibles. Soudain, les médecins sont dans l’incapacité de prescrire des traitements ayant fait leurs preuves, car ceux-ci n’ont plus aucun effet. Qui plus est, les antibiotiques peuvent avoir des effets secondaires non-négligeables sur le corps humain. Ils tuent en effet toutes vos bactéries, y compris celles de votre flore intestinale. En abuser est bien souvent synonymes de problèmes gastriques ou de digestion, entre autres. Car les bactéries ne sont pas toutes mauvaises. Devrions-nous nous priver totalement d’antibiotiques ? Clairement pas. Certains cas infectieux graves sont intraitables sans antibiotiques. Cela dit, certains médecins ont tendance à abuser des antibiotiques dans leurs prescriptions, alors qu’ils ne sont pas toujours nécessaires. Dans ces cas-là, mieux vaut se tourner vers des alternatives naturelles qui peuvent très bien combattre seules les infections. On les connaît rarement, pour la simple et bonne raison qu’il est difficile de les vendre aussi chères que des médicaments! L’eau salée Une solution saline est un désinfectant simple et pratique à faire vous-même. Mélangez un peu de sel avec de l’eau, et appliquez cette solution sur les plaies ouvertes et autres coupures afin d’empêcher toute infection. Rincez votre bouche avec cette solution, et vous combattrez ainsi la mauvaise haleine et les gingivites. L’Ail L’ail est particulièrement efficace contre les bactéries, et est souvent recommandé en guise de traitement contre tous types d’infections et de problèmes. Vous pouvez même faire, à domicile, votre propre sirop à l’ail, particulièrement efficace contre les infections respiratoires. C’est bon marché, facile à faire, et si vous ajoutez des flocons d’ail à vos repas, vous serez moins souvent sujet à des infections. La vitamine C Connaissez-vous le meilleur moyen de combattre une infection ? Il suffit de laisser faire votre système immunitaire ! Votre système immunitaire est composé d’agents bactéricides appelés globules blancs ! Et comment renforcer son système immunitaire ? En ingérant de la vitamine C. La vitamine C s’avère efficace contre bon nombre de maladies, comme la polio, la diphtérie, et la coqueluche. L’huile d’origan Le virus du staphylocoque est un problème qui découle directement de l’usage abusif des antibiotiques. L’huile d’origan est non seulement un bon antibiotique, mais elle s’avère aussi parfois suffisamment puissante pour contrer les staphylocoques, même lorsque d’autres solutions ont échoué. Essayez donc d’utiliser ces solutions alternatives dans le cadre de votre quotidien, pour guérir plus vite d’infections. Si vos symptômes sont plus prononcés, et qu’ils ne diminuent pas, alors consultez votre médecin au plus vite. Cela n’est peut-être pas la solution la plus agréable, mais parfois, les médicaments sont la seule solution viable. - See more at: http://francais.mastakongo.com/index.php?p=topic&t_id=1220#sthash.wt1MdnRN.dpuf |